1. Les vacances de Loubna


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, alliance, gros(ses), grosseins, facial, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, attache, humour, totalsexe,

    ... effectivement prévu, qu’elles iraient toutes les deux la semaine suivante… Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? En attendant, il fallait que je me farcisse Loubna toute une journée… Sa sœur à peine partie que Loubna était déjà en train de bouffer ses friandises, affalée sur le canapé du grand salon. Je la regardais du coin de l’œil. Malgré sa robe noire traditionnelle, le noir ayant pourtant l’avantage de maigrir, elle faisait vraiment énorme, elle était grasse comme une motte de beurre, aussi bien en haut qu’en bas, avec des hanches XXL et un visage plus que bouffi. Mais elle continuait à s’empiffrer avec un acharnement qui tenait de la boulimie, qui semblait révéler un gouffre affectif énorme qu’elle ne parvenait jamais à combler. De la voir avaler tous ces gâteaux, que ma femme avait préparés tout spécialement pour elle, me donnait presque envie de vomir. Mais, au delà, ce n’est pas cela qui m’impressionnait, c’était plutôt le fait que je n’avais pas l’habitude de côtoyer des femmes voilées. Samira avait beau être croyante et pratiquante, c’était une jeune femme moderne, épanouie, bien dans sa peau, qui s’habillait à l’occidentale et d’une façon même plutôt sexy, tout le contraire de sa frangine dont les habits traditionnels étaient pour moi un tue-l’amour. Mais, en même temps, le mystère de ce voile me mettait très mal à l’aise, je n’avais pas l’impression d’être sur un pied d’égalité mais face à une espèce de religieuse pleine de reproches qui condamnait ...
    ... mon côté profane. C’est donc Loubna qui dut faire un effort pour dégeler la conversation car, pour ma part, je m’en sentais bien incapable. Elle me parla un peu de sa vie en Algérie, puis plus longuement de mon épouse. Ma belle-sœur me racontait tous les bons moments passés en sa compagnie, ce qu’elles faisaient lorsqu’elles étaient gamines, leur complicité d’antan, il y avait plein de regrets dans ses propos et surtout plein de nostalgie. Ensuite, elle enchaîna sur la vie présente, nous avions vraiment une très belle maison et une belle petite fille. Loubna trouvait sa sœur très heureuse, elle en était enchantée, même si j’avais l’impression qu’il y avait comme un semblant de jalousie derrière ses dires. Mais elle adorait Samira, c’est certain, et elle parlait d’elle avec vraiment beaucoup d’amour. Au fur et à mesure de la conversation, j’avais la nette impression que ma belle-sœur devenait plus à l’aise avec moi, alors que moi, de mon côté, je restais un peu sur ma réserve, me contentant de l’écouter. — Samira m’a dit que tu la gâtais beaucoup, question sexe, lança-t-elle soudain en se reprenant du coup une friandise. Je la regardai, estomaqué, déstabilisé par son audace, mais elle soutint fermement mon regard avec un petit air bizarre. Elle semblait tout d’un coup ragaillardie et impériale et je trouvai, à cet instant, dans ses jeux de bouche, des faux airs de famille, qui me firent immédiatement penser à Samira. Elles n’étaient pas sœurs pour rien, ces deux-là, les mêmes ...
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