1. Les vacances de Loubna


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, alliance, gros(ses), grosseins, facial, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, attache, humour, totalsexe,

    ... visage bouffi rougissant, toujours entouré par son voile noir. Elle était tellement excitée que je la sentis très vite venir. Elle expulsa son plaisir en de longues plaintes tandis que je continuais à la pilonner avec force. Je la vis grimper aux rideaux, se démener dans tous les sens, n’en plus pouvoir et en redemander. N’ayant pas encore joui, je décidai alors de faire une pause, et entrepris de la déshabiller car j’avais maintenant très envie de voir le corps bien gras de ma nouvelle amante. Elle rechigna un peu car elle n’avait visiblement pas trop envie de se montrer entièrement nue. Mais la promesse de nouveaux ébats la fit changer d’avis et elle finit par dévoiler à la fois son épaisse crinière noire et sa poitrine gigantesque, deux nichons énormes qui retombèrent lourdement sur son ventre rebondi, une fois son soutien-gorge détaché. Les poignées d’amour et les bourrelets de graisse de ma maîtresse s’exhibaient maintenant au grand jour, généreux et gourmands, à l’image de sa goinfrerie. Ses seins, avec leurs gros mamelons et leurs corolles très larges et très sombres, ressemblaient à s’y méprendre à ceux de Samira, si ce n’est qu’il s’agissait de modèles géants, surdimensionnés et obèses. D’ailleurs, sans son voile, Loubna avait vraiment des faux airs de mon épouse, une Samira grenouille qui aurait dévoré des tonnes de gâteaux jusqu’à devenir aussi grosse que le bœuf. Malgré son énormité, je la trouvai terriblement attirante et elle me fit perdre complètement la ...
    ... tête. Je saisis ses gros globes à pleines mains et entrepris de les limer avec ma bite. Nous nous regardions droit dans les yeux, avec énormément d’envie : — Oh, quelles belles mamelles ! T’es encore plus bandante que ta frangine. Hum, que c’est bon de se branler entre tes gros seins.— Ohhhh, je suis à toi ! J’ai envie que tu me baises encore, j’ai très envie de te sentir encore en moi. Baise-moi jusqu’à ce que ma sœur revienne. Baise-moi très fort, baise-moi à fond. J’ai envie de beaucoup de sexe. Je la fis mettre à quatre pattes, histoire d’admirer son derrière et de voir ses seins pendre sous elle. Puis je m’enfonçai d’un coup, de toute ma longueur, dans son antre humide. Dans cette position j’allais tout au fond d’elle, elle gémissait comme une malade, à chaque coup de queue, et elle criait sans retenue. Excité comme ce n’est pas permis par ce merveilleux spectacle et par les envies très cochonnes de mon incroyable belle-sœur, je la saisis fermement par les hanches pour la défoncer comme un forcené. La jouissance vint en nous cette fois de façon presque synchrone, puissante et impériale. Je laissai échapper un bruit de bête en expulsant mon jus dans ses entrailles. Ensuite, nous restâmes un long moment dans cette position, affalés à même le sol froid du salon, vidés et repus, essayant de reprendre tant bien que mal nos esprits. — Ma sœur ne m’avait pas menti, tu es un sacré étalon, conclut-elle en reprenant son souffle. Elle a bien de la chance, Samira ! Tu dois la rendre ...
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