1. Les vacances de Loubna


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, alliance, gros(ses), grosseins, facial, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, attache, humour, totalsexe,

    ... disant qu’elle avait quand même le droit de parler avec sa sœur qu’elle ne l’avait pas vue depuis dix ans, qu’après tout cela ne me regardait pas et que, et que… et donc nouvelle dispute et politique du cul tourné pour le restant de la nuit. Le lendemain matin, revenue à de meilleurs sentiments, ma moitié m’expliqua que sa frangine sortait d’une dépression, qu’elle était en pourparlers de divorce avec son homme et que cela se passait plutôt mal. — Elle habite depuis plus d’un an chez une cousine, m’expliqua ma femme, comme je lui demandais quelques précisions. Elle est toujours officiellement mariée, mais elle vit désormais séparée de son mari. Lui, vraiment c’est un sale type, il lui menait une vie d’enfer. Dans les derniers temps, la pauvre se faisait tabasser presque tous les jours, pour un oui ou pour un non, c’est pour ça qu’elle est partie. Depuis, elle broie du noir. Il ne veut surtout pas entendre parler de divorce et elle doit batailler sans cesse pour voir ses enfants qui vivent dans sa famille à lui. Ce voyage en France était pour elle l’occasion de faire un break, de retrouver sa famille et au-delà ses vraies racines, de se remonter un peu le moral… Il fallait donc que je sois gentil avec elle et que j’arrête de lui faire la gueule. Sur quoi, Samira ajouta qu’elle avait invité ses parents, et que des cousins allaient aussi venir passer quelques jours chez nous. J’adore la famille de mon épouse mais à petite dose et là, pour moi, cela faisait vraiment trop, une ...
    ... nouvelle dispute éclata et je partis en colère au travail. Les premières semaines passées avec ma belle-sœur furent pour moi assez pénibles. Tous les soirs, invariablement, Samira me collait la mouffette dans les bras et allait s’enfermer avec sa frangine dans la chambre d’ami où elles papotaient jusqu’à plus soif. Je les entendais discuter en arabe jusque tard dans la nuit. J’adore m’occuper de Nawel, ce n’est pas la question, lui donner à manger, lui faire prendre son bain, lui raconter des histoires, ma fille est vraiment super, c’est un petit ange béni des dieux. Mais j’étais tenaillé par la jalousie, d’entendre les deux femmes parler ainsi, de les imaginer en train de se confier tous leurs petits secrets… et de me sentir exclu, abandonné par mon épouse. Je lui faisais la tête, elle me le rendait bien. / - / - / - / - / Le lundi qui suivit la visite de mes beaux-parents, je me retrouvai pour la première fois seul à seul avec Loubna. Il y avait un tel ressenti entre nous que je ne trouvais pas grand-chose à lui raconter. Ma femme était partie raccompagner sa famille du côté de Lille et m’avait demandé de prendre une journée de récup pour ne pas laisser sa sœur toute seule. Pourquoi ne pas l’avoir emmenée avec elle ? Je n’avais pas bien compris. Certes, la voiture était déjà bien pleine, mais ils auraient pu se serrer encore un peu. Comme je lui disais que ce serait pourtant sympa que sa frangine voit comment étaient installés ses parents, Samira me répondit que c’était ...
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