1. La gêne et le plaisir - Partie 2


    Datte: 25/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Jenny est une étudiante qui profite d'un week end prolongé dans sa colocation vide pour s'adonner à une séance de découverte du selfbondage en solitaire. Son colocataire Damien fait irruption en pleine action, et vient pimenter l'expérience. Il lui propose alors un jeu de rôle de Maitre et Soumise pour le reste du week-end, en lui promettant discrétion et le droit de lui rendre la pareille à la fin du week-end. Jenny accepte avec une réserve feinte, et Damien la laisse entravée sur son lit, le temps d'aller mettre sous clef ses papiers, ses clefs et son ordinateur, pour officialiser sa soumission. Damien revint enfin. Sans dire un mot, il sortit une clef de sa poche et déverrouilla ma ceinture de chasteté. Elle était encore bien humide cyprine et exhalait une forte odeur. - Quelle petite cochonne, tu en as mis partout, jusque sur tes draps. Maintenant voyons voir où tu as caché l’œuf. Me plaquant sur le lit, il décolla le scotch, m’écarta les cuisses et introduisit doucement mais fermement ses doigts dans mon vagin. Je soupirais d’aise. Il retira l’œuf et me le présenta. - Une vraie petite trainée qui aime se faire des frayeurs toute seule… C’est dégoutant, regarde-moi ça. Il essuya l’œuf avec mes cheveux. Je protestais. Il me punit d’une petite tape sur le sexe, qui m’excita terriblement. J’avais très envie qu’il me fasse l’amour brutalement. - Eh non, petite soumise, ce n’est pas pour tout de suite. J’ai plein d’idée de jeux, avant. Il détacha les menottes sur mes chevilles ...
    ... mais laissa mes poignets liés. Avisant le carton remplis de mes nouveaux accessoires de jeux, il fouilla dedans. Il en sortit victorieusement une laisse. J’eu soudainement envie d’arrêter. Me faire trainer en laisse par mon colocataire si provocateur, c’était trop. Mais quelque chose me retint de l’interrompre. Il accrocha la laisse à l’anneau du collier – un ruban de cuir solide sur lequel était écrit « esclave ». - Si bien trouvé, commenta-t-il. Ensuite il sortit de sa poche un tissu d’étoffe noir. Je reconnu la culotte que j’avais abandonnée dans l’entrée. - Regarde-moi ça, dit-il en me la collant sous le nez. Sens donc ton odeur de petite chienne en rut. Toute la journée, tu n’as pensé qu’au moment où tu t’attacherais sur ton lit, et tu as bien mouillé à cette idée. Ma culotte sentait une odeur forte d’hormone, de sexe. C’était humiliant qu’il ait touché à ma lingerie et encore plus qu’il l’ait reniflée. Je sentis mon sexe produire une grande quantité de cyprine alors qu’il me forçait à sentir le morceau de tissu. Il me l’enfila lui-même, et avisant mon sexe bien humide, il me caressa les cuisses. Mon désir de lui monta encore d’un cran. - Une vraie petite chienne, toute prête à se faire prendre, dit-il en me pinçant le menton. J’appelais peut-être quelques copains, je ne suis pas sûr de pouvoir te suffire, ma belle… Je le foudroyais du regard. Il se leva, et tirant sur ma laisse, me força à le suivre. Il m’emmena dans la cuisine et me fit assoir à la table. - Toutes ces ...
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