1. La gêne et le plaisir - Partie 2


    Datte: 25/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vont pas aux toilettes, à ce que je sache. Elles urinent dans la nature, comme tous les animaux. Tu vas donc devoir me faire un joli petit pipi à l’endroit où tu te trouves. Je protestais avec véhémence. Il me planta là et rentra dans la maison. Il ressortit avec mon appareil photo reflex, que j’avais reçu de mes parents à mon anniversaire. Je paniquais. - Ne t’inquiètes pas, je ne les montrerais à personne, tu seras la seule à les voir à la fin de notre week-end. Ça nous fera des petits souvenirs ! Il s’assit à deux mètres de moi et me prit en photo dans cette position rabaissante, attachée comme un chien. Il attendit ensuite, me fixant, l’appareil à la main. Je compris qu’il n’attendait qu’une chose. Je n’arrivais pas à me résoudre à m’uriner dessus. C’était trop. Trop sale, trop extrême, trop dégradant. Et en même temps, cette excitation omniprésente depuis le début, si tentante, exacerbée par le poids de ma vessie gonflée… Au bout d’un certain temps, ne pouvant plus me retenir, je sentis soudain l’urine commencer à s’écouler. Je poussais un petit cri d’horreur et me dandinais ; j’écartais les jambes pour ne pas mouiller mes chaussures. Damien ne loupa pas l’occasion, mitraillant toute la scène. L’urine commença par inonder ma ...
    ... culotte qui s’assombrit et me colla à la peau. Puis l’urine transperça le tissu et commença à s’écouler en jet et en rigole le long de mes cuisses. La miction me soulagea tant qu’elle me fit l’effet d’un acte sexuel. Je m’abandonnais à cette action si primitive mais si agréable, fermais les yeux, sans pouvoir ignorer les clics de l’objectif de mon appareil photo. J’urinais longuement – j’avais plus de deux litres à évacuer, après tout – et me délectais presque de la situation. Lorsque j’eu fini, je ressentis profondément la honte de mon action. L’odeur de l’urine était très forte et m’entourais ; ma culotte me collait salement à la peau et l’urine séchant sur mes jambes me grattait. Damien éteignit l’appareil, satisfait. Il alla chercher dans la maison un rouleau de sopalin et m’essuya les jambes. - Tu vas garder la même culotte ces trois jours, je ne veux pas que tu oublies un seul instant la vulgarité et la saleté de tes actes. Je gémis. Le regard mêlé de moquerie et de dégout qu’il m’adressait me rendait folle. Il me détacha de la barrière et me tira vers la maison. Mes jambes me lançais, j’étais ankylosée d’avoir gardé la même position pendant si longtemps. - Tu aimes les films pornos, ma belle ? J’haussais les épaules, peu rassurée. 
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