1. Sois jaloux, s'il te plaît !


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, couple, extracon, cocus, vengeance, dispute, pénétratio, fsodo, couple+h,

    ... coups de boutoirs étaient d’une violence inhabituelle. Je mouillais comme une dingue, mais il a dû penser que c’était le sperme de son concurrent qui me lubrifiait. J’aurais voulu hurler de plaisir, mais c’était trop tôt. J’ai fait l’indifférente, la femme soumise qui se laisse faire et attend que monsieur ait terminé. Ça l’a rendu dingue. Il a tiré encore plus fort sur mes cheveux et bourré encore plus fort ma chatte en feu. Quel pied ! Pour la première fois, je prenais mon pied sans le faire savoir à mon amant. Comme je ne réagissais pas, il s’en est pris à mon cul. Quand il me sodomise, il y va toujours doucement au début. Là, il n’en avait pas envie. Il s’est juste craché sur le gland avant de m’enfoncer son engin tout raide bien à fond. Il était tout simplement en train de me violer. Je me suis vite retrouvée à genoux sur le tapis du salon à me faire enculer brutalement. Il voulait me faire jouir de force. Je m’étais promis de jouir en silence, et j’ai très bien réussi les deux premières fois. Il était tellement à son labeur qu’il n’a même pas senti mes spasmes. Mais avec le traitement qu’il m’infligeait, je n’ai pas pu retenir mes cris quand une vague terrible est arrivée. J’en ai pissé en même temps que je jouissais, et du coup mon cerveau a cessé de me commander. J’ai tout ...
    ... lâché comme un animal. Et ça a dû déclencher sa propre jouissance. Il s’est laissé aller lui aussi tout en continuant de me traiter de tous les noms. Et là, Jacques n’a pas fait dans la dentelle : — Et la mienne, tu la sens bien ? C’est ça que t’aimes, salope ? Bon, je passe les détails. Heureusement je ne suis pas susceptible… Poussé dans ses retranchements, mon mari pouvait être jaloux. Me voilà rassurée, me suis-je dit avant de l’embrasser tendrement. À peine sorti de son semi-coma post-coïtal, Jacques m’a regardée dans les yeux comme pour s’excuser. Il avait vraiment l’air contrit. Je lui ai avoué avoir tout inventé pour le faire craquer. À mesure que mes explications avançaient, j’ai vu son visage s’éclairer. Il m’a prise dans ses bras et m’a caressée avec tendresse. Je me suis sentie quitter le sol, puis il m’a transportée dans notre chambre pour me faire l’amour comme on fait l’amour à une honnête femme. Cette fois, pas d’insultes, pas de brutalité. J’ai pu me laisser aller à une douce extase sous sa langue experte, puis écarter grand les cuisses pour qu’il me prenne doucement. Nous avons fait l’amour tendrement, doucement, longtemps. J’ai adoré sa salive, sa sueur et son sperme. Un dimanche après-midi au lit, ça faisait longtemps que ça ne nous était pas arrivé. Quel bonheur ! 
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