1. Harpagon, la fleur et le novice


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, fplusag, couleurs, extracon, nympho, complexe, jalousie, Masturbation Oral fsodo, bourge,

    ... est proprette, coquette même. Beaucoup de livres. J’apprendrai plus tard qu’il en a hérité de son père, un professeur. Je n’en vois pas plus, la traversée est brève. Le mobilier de la pièce suivante est spartiate ; c’est une chambre : un grand lit, une caisse servant de chevet, et un portant sur lequel pendent quelques affaires. Une porte est à demi entrouverte ; j’imagine qu’elle donne sur une salle de bain, mais je n’ai pas le temps d’aller voir, monsieur s’impatiente. — Déshabille-toi ! commande-t-il, autoritaire. J’obéis. Depuis le temps, nous connaissons nos rôles : quand il est le chef, je ne suis plus patronne, et inversement. Ce jour-là toutefois, il est particulièrement despotique. La robe, les escarpins… Je suis nue ; lui aussi.« Il est rapide, le bougre ! » que je me pense. Je n’ai pourtant pas été longue. Il bande. Il bande tout le temps, c’est son état normal ; le contraire m’aurait étonnée. On ne perd pas de temps : il me positionne à quatre pattes sur le lit puis m’enfile sur-le-champ, sans aucune préparation. La colère raidit singulièrement sa queue ; il se venge. Il a choisi de s’introduire dans ma chatte. L’humidité y est suffisante pour que la pénétration ne soit pas douloureuse. Celle-ci ne va quand même pas sans un certain éblouissement. Il me faut un instant pour récupérer avant de me mettre au diapason et d’accompagner le mouvement. Il me baise avec hargne, bestialement, sa fureur le déborde. Ce n’est pas pour me déplaire ; j’ai un côté maso, j’aime ...
    ... être rudoyée. J’en suis venue à croire qu’il a abandonné son projet de m’enculer. Mais non, on y vient, je le pressens. Je me hasarde à lui parler, pour le conseiller, le guider ; peine perdue ! Il pointe, puis attaque méchamment, à l’image de son humeur. Éblouissement, flamboiement, je ne sais plus où j’en suis. Ça flamboie dans mon cul plus que dans ma tête. Des étincelles cuisantes ; par bonheur, la voie a été antérieurement préparée, sinon il m’aurait déchirée. On dit que plaisir et douleur font cause commune, mais il me faut quand même un moment avant de conclure le traité d’alliance, puis le désir prend le pas, le feu m’embrase, et la douleur passe au second plan, disparaît, noyée dans mon transport. Je me branle en même temps qu’il me baise le cul. Mon plaisir précède le sien. S’en est-il seulement rendu compte ? Je ne pense pas. Dans ce moment-là, il est comme beaucoup d’hommes, tellement égoïste, tellement concentré que rien ne compte pour lui en dehors du besoin vital qu’il a de vider ses couilles. — Arf… arf… c’est trop bon… Il soupire d’aise en même temps qu’il se retire et prend de la distance. Je devine le sperme s’écoulant de mon anus béant. La sensation est physique, pas vraiment agréable, pas désagréable non plus à vrai dire. Je m’en fous, en fait. La fatigue me tombe d’un coup sur le râble ; ce n’est pas qu’une image : j’en sens le poids sur mes reins. Je m’affale sur le lit, j’ai besoin de souffler une minute avant de passer à la suite. — Je peux prendre une ...