1. Harpagon, la fleur et le novice


    Datte: 26/05/2019, Catégories: fh, fplusag, couleurs, extracon, nympho, complexe, jalousie, Masturbation Oral fsodo, bourge,

    ... signes énergiques pour lui enjoindre de décamper. Le battant se referme. Moctar n’a pas été sans voir mon manège. — Pourquoi tu l’as chassé ? Il a pas droit au spectacle ? qu’il plaisante. Tiens donc ! Mon compagnon raille et ricane, apparemment déçu d’avoir perdu un public. Ce faisant, il a pris ses distances. La tension sexuelle est un peu tombée ; j’imagine que cela signifie la fin de notre récréation. Je m’apprête à renfiler ma culotte. Il me la confisque. — Que fais-tu ? On n’a encore rien fait ! s’exclame-t-il en s’emparant de mon linge.— Alors magne-toi. Les autres vont finir par se demander ce qu’on fout. Je pense surtout à mon mari ; des autres, je me contrefous. Quant à Betty, elle sait déjà à quoi s’en tenir, et le proviseur probablement aussi. Nous reprenons. Cette fois, il veut voir ma lune et me place en position de levrette. J’ai tout de suite la crainte qu’il ne veuille me sodomiser, non pas que la pratique me soit étrangère, mais le temps nous est compté, une obsession chez moi. — Non, pas ça ! que je me rebiffe, on n’a pas le temps.— Quoi, « pas ça » ? Quoi, « pas le temps » ? Tu sais même pas ce que je veux faire… Il se recule, manifestement irrité. Tous mes signaux clignotent au rouge. Je le sens blessé, et comprends que j’ai été trop loin… Il me chagrine de le voir contrarié. Je me sens fautive et me fais chatte, quémande son pardon, prête à faire pénitence. — Tu as le temps de me sucer ? se gausse-t-il, forçant le trait à dessein.— C’est ça que tu veux ? ...
    ... que je réplique sans croire une seconde qu’on en viendra là.— Oui ! coupe-t-il en me prenant au mot. « Plus conne que moi, tu meurs ! Je me suis piégée moi-même. Il n’a rien à perdre et tout à gagner. Suis vraiment une conne de chez conne… » Je pressens que les motivations de mon amant tiennent plus de la vindicte que du désir, mais je ne peux plus reculer. Je me repens à genoux, et j’y mets tout mon cœur. Il m’importe que ma prière soit entendue :« Vite, siouplaît, mon Dieu ! ». J’ai dégagé le gland et fait en sorte qu’il soit bien lisse. Il n’a que le goût de mes humeurs, pas encore celui des siennes, ou ce n’est pas sensible. La hampe est chaude et nerveuse dans ma paume. Je la branle lentement et agace en même temps le méat à petits coups de langue, histoire de redonner de la vigueur. Moctar respire bruyamment. Son corps est cambré, il brandit son attirail en avant-garde. Je ne vois pas son visage : sa tête est légèrement renversée vers l’arrière, comme s’il priait le ciel ou contemplait les étoiles. J’imagine qu’il cherche la Grande Ourse ou le firmament vers lequel je vais le propulser. Je m’applique pour cela. Ma concentration n’est cependant pas si exclusive que des pensées parasites ne naviguent pas sur mon orbite. Je calcule comment réduire au silence les indiscrets qui nous ont vus. J’imagine qu’il m’en coûtera quelques billets. Je sais que mon calcul n’est pas très romantique, mais le résultat n’en produit pas moins plus d’amour. Ma décision m’a rassérénée, et du ...
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