1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (18) : au tour de Philippe !


    Datte: 25/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... balançait sa tête dans tous les sens. • Oh que c’est bon ! Merci chérie pour ton cadeau ! Rachid, Olga et moi nous sommes à toi. Tu peux faire tout ce que tu veux avec Olga. Fais-la baiser comme la catin qu’elle est, féconde-la ! • Tu sais que t’es aussi salope que ta bourgeoise, prends-ça ! • Mets-la-moi bien au fond, casses-moi le cul ! Rachid allait et venait dans Philippe maintenant. Il était jambes en l’air, Rachid appuyant sur l’arrière de ses cuisses pour mieux pénétrer son partenaire. Philippe stimulait sa bite et grimaçait de plaisir à chaque fois que son amant envoyait son sexe en lui. Très vite Rachid se mit à pousser des gémissements que je ne lui avais jamais entendus. Il avait adopté un rythme rapide et saccadé. • Mon Dieu, que ce cul est délicieux ! Tu aimes ça, tu es une femelle ! Philippe était sur le point d’avoir une énorme jouissance. Tout son corps était tendu et en attente de l’orgasme qui arrivait de très loin et qui dégringolait à toute vitesse pour se loger dans son bas ventre • J’ai impression qu’il va jouir! • Je vais me vider dans son cul. C’est bon. Viens femme regardez comme je fais couiner ton mari, tu aimes ? • Ouiiiiii Je cessais de le branler et jouissais à mon tour en même temps que les deux amants. Rachid éjacula une incroyable quantité de sperme dans le cul de Philippe, qui ressortit en totalité, sous les va-et-vient de son sexe Philippe eut un énorme râle et hurla qu’il jouissait ! Qu’il jouissait très fort ! Il prit son sexe dans une ...
    ... main et accompagna la jouissance qui arrivait par une masturbation qui fit sortir tout le sperme que l’excitation avait emmagasiné dans ses couilles. Exténué, il s’affaissa sur le lit. J’étais haletante, comme si j’avais moi-même participé à ce coït. Je n’osais rien dire. Je les laissais jouir de leur plaisir, comme s’ils avaient été seuls. Je m’assis à terre, profitant de la froideur bienfaitrice du carrelage. Rachid tendit sa langue, invitant Philippe à le rejoindre. Ils s’embrassèrent amoureusement, comme j’aurais voulu que Rachid m’embrassât ainsi après l’amour. J’étais presque jalouse. Il promenait sa main gauche sur le corps de mon mari. Ce dernier s’était reposé sur la poitrine de son amant et avait de ce fait mouillé son torse et son ventre du sperme qui avait jailli de Rachid, mélangeant ce liquide procréateur au sien qui coulait encore de son sexe endolori. Il semblait se complaire dans cette humidité masculine. Leur baiser était interminable. Philippe l’agrémentait par des caresses qu’il prodiguait au sexe qui avait été en lui. Par nos mains et nos bouches, Philippe et moi avons à nouveau réveillé l’érection de Rachid. • Je veux le faire jouir une deuxième fois. Le trou de Philippe était béant et la semence de mon mâle coulait abondamment. Rachid le pénétra à nouveau, se remit à aller et lentement en lui, réveillant petit à petit son excitation. Au bout de quelques allers-retours, il sentit les hanches de son partenaire se mettre à bouger pour suivre le rythme de ses ...
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