1. Un raton laveur au paradis


    Datte: 29/05/2019, Catégories: ffh, fbi, frousses, vacances, forêt, amour, Oral 69, pénétratio, fdanus, humour, québec, couplea3, nature,

    ... prudemment, tandis que Pierrette lui léchait la vulve. Quelle sensation que d’être dans le cul étroit de Marie Lemieux en sentant sa tante lécher mes couilles et sa plote tandis qu’elle, elle léchait sa tante ! Sublime. Je l’enculai un bon moment, apercevant soudainement l’écureuil sur la table de cuisine qui nous fixait comme si ça pouvait l’exciter celui-là. Je sortis ma bite du cul pour la fourrer dans la bouche de Pierrette, puis dans le vagin de Marie et encore le cul et ainsi de suite jusqu’à ce que l’orgasme arrive. J’avais le choix pour décharger, je choisis le cul et lui remplis le rectum de foutre chaud avant de me faire sucer encore un peu par Pierrette puis je les laissai s’amuser toutes les deux en allant manger un peu avec l’écureuil et me faire un bon café. Elles finirent par s’endormir dans les bras l’une de l’autre et j’allais les rejoindre en bâillant, mais le maudit Kato me sauta sur un mollet… Assis dans le salon de ma nouvelle vie à prendre mon premier café du matin, je regardais par les grandes baies vitrées une grosse neige floconneuse tomber sur la forêt et la cascade. C’était magnifique. Marie arriva, portant encore le pyjama d’homme qu’elle enfilait toujours pour dormir, café à la main et, malheureusement, ses énormes pantoufles roses à longs poils aux pieds. C’était navrant de voir qu’une femme aussi brillante et intelligente que Marie osait porter une atrocité pareille. Elle resta debout devant moi à regarder la neige tomber. La lumière ...
    ... hivernale rendait son pyjama transparent, elle ne portait rien en dessous. — On va avoir de la visite en fin de semaine, m’avertit-elle en se grattant une fesse.— Qui ? demandai-je en l’admirant tête penchée. Pierrette ?— Marie-France Corbeil, une amie d’enfance. J’avalai ma gorgée un peucroche et toussai. C’était donc elle l’autre vedette connue avec qui elle baisait. Marie-France Corbeil, la petite brunette animatrice qui faisait bander tout le monde. Wow ! Marie me regarda tout sourire. — Seigneur, Paul, t’as les yeux ronds comme des billes. Tu bandes dessus toé avec, on dirait.— Ben, un peu. Elle vint s’asseoir sur mes pauvres genoux qui craquèrent atrocement et me dit : — J’y pense, j’ai déballé tes dernières boîtes, pis je les ai trouvées.— Ah, et quoi ?— Tes pantoufles Homer Simpson.— Yes ! Kato arriva et s’assit le cul dans la neige sur notre grande terrasse et nous regardait genre : « Pitié, je peux-tu entrer, vos grandes maisons sont chauffées, pas mon petit terrier et j’ai si faim… » — Pauvre lui ! fit Marie.— Ben oui, pauvre lui ! dis-je en lui faisant un doigt d’honneur pour ensuite caresser les seins chauds de ma blonde.— Sans cœur !— Il a failli m’arracher les yeux, le salaud, sans parler de mon billet et pis il est bien sous le hangar. Nourri, logé gratos, le mordeux de mollets. Une voiture arrivait, je me mis à bander sous les fesses de ma belle grande bombe. Elle me regarda avec un étrange sourire. — Quoi ? lui demandai-je.— Tu voulais savoir pour mon tatouage !— ...