1. Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. (2)


    Datte: 29/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... totalement rasée, ce que je trouve particulièrement excitant. On n’imagine pas, quand vous voit comme ça, vous qui paraissez être une femme mûre bien sage et bien rangée, que vous avez dans votre slip une motte toute lisse, propre à faire bander un mort, et que vous êtes une petite coquine qui cherche à exciter les mâles avec votre petite chatte prête à servir. Allez, commencez par vous débarrasser de cette jupe et de cette culotte qui vous entravent et vous empêchent d’écarter les cuisses." Comme je la maintenais appuyée contre moi, elle n’eut pas d’autre choix que d’envoyer valdinguer d’un mouvement du pied ces deux atours féminins, et sans que j’eusse besoin de le lui demander, elle écarta légèrement les cuisses ce qui permit au bout de mes doigts de glisser de son mont vers sa vulve : les pétales en étaient déjà tout entrouverts et tout soyeux, et même en proie à une certaine douceur humide. " - Hum" fis-je avec un air gourmand tandis que les doigts de ma main droite patinaient sur des muqueuses douces et glissantes, "on dirait que votre corps réagit, que votre sève a coulé, ma chère." Et d’un geste sensuel je levai la main, lui mit quasiment sous les yeux mes doigts tout brillants de mouille, et je les portai à ma bouche puis les suçai avec délectation. " – Oh murmura-t-elle, "quel diable d’homme êtes-vous ? — Mais un homme, juste un homme" lui répondis-je après avoir fini de sucer mes doigts. Ma main gauche lui pelotait le sein gauche, le pressant doucement avant de ...
    ... passer au sein droit, tandis que mes doigts droits étaient repartis en exploration, à l’orée de cette petite grotte douce et bien humide. Elle ondulait sensuellement des reins, habitée par le désir, et elle avait passé son bras gauche en arrière, attrapant et caressant ma nuque. Mes doigts, dans leur mouvement de glisse, montaient et descendaient en allant à chaque fois de plus en plus bas, et s’insinuèrent dans sa chatte. Elle accueillit cette intrusion avec force soupirs et petits gémissements. Ses yeux étaient à demi-fermés. Ma main gauche faisait rouler ses mamelons durcis entre pouce et index, tandis que de ma main droite, l’index et le majeur effectuaient maintenant des mouvements de va-et-vient, cherchant à aller le plus loin possible, ce qui n’était pas tellement évident dans cette posture. Soudain, je la lâchai, et je posai mes deux mains sur son cul, appréciant la chaleur et le moelleux de ses deux fesses de femme mûre. Elles étaient encore bien galbées malgré son âge, et pas encore affaissées, ce qui ne fut pas pour me déplaire. " - Vous savez que vous avez un beau cul, Madame Dubuis !? Je le trouve particulièrement bandant. On ne s’imagine pas quand on vous voit, habillée derrière votre comptoir, que vous avez un corps encore franchement appétissant." J’étais en train de le caresser, le masser, le palper de façon de plus en plus appuyée. Elle me laissait faire en silence, ayant l’air d’apprécier le traitement. Puis, soudain je lui lâchai : " - Vous savez que vous ...