1. Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. (2)


    Datte: 29/05/2019, Catégories: Hétéro

    ... mériteriez d’être fessée pour ce que vous m’avez dit toute à l’heure ?" Elle tenta de protester. Je l’interrompis : " - Vous avez parlé de me dénoncer. Vous m’avez menacé. C’était presque du chantage puisque vous vouliez faire pression sur moi pour que je vous prodigue mon "traitement"... — Oh vous savez que ça n’était pas le cas, vous savez bien que je n’en aurais rien fait... — Silence !" lui criai-je en lui assénant une claque sèche sur la fesse droite. "Vous allez apprendre que pour ce traitement fasse effet il faut se soumettre à moi sans broncher...!" Elle sursauta, fut surprise tant par la claque sur sa fesse que par le ton de ma voix devenu brutalement véhément. Est-ce que Madame M. lui avait raconté toute notre séance par le menu, et lui avait-elle conté que je lui avais administré une fessée en règle ? J’en doutais un peu, mais malgré tout elle devait savoir à quoi s’attendre. Néanmoins, cette petite souris n’avait pas un corps aussi plantureux, aussi voluptueux que Madame M., et elle ne me donnait pas sincèrement envie de la punir comme j’avais fait pour la première. Non pas que son derrière ne fut pas assez charnu pour encaisser une bonne fessée à plat ventre en travers de mes genoux. Mais son attitude ne me mettait pas en tête un désir de fustigation. Il ne me venait pas l’envie de lui faire mal. La façon dont elle était venue se donner à moi, sans faire de manières, me touchait plutôt ; et si j’avais envie de jouer un peu avec elle, elle m’inspirait plutôt de ...
    ... la tendresse et du désir. Ou bien était-ce simplement mon humeur ? Je ne savais pas. Il y a des jours comme ça. " - Hummm..." lui murmurai-je avec un air gourmand, "quelle bonne petite chienne." Et je rajoutai en caressant avec délice son cou gracile, frêle et à la peau si douce, qui donnait d’elle une terrible impression de fragilité : "J’aimerais beaucoup emprisonner ce joli cou dans un collier de cuir, un collier de chienne soumise, emprisonner ce corps dans un carcan pour mieux le posséder, pour le sentir tellement mien..." J’avais envie de la dominer, ça c’était certain, mais je n’avais pas grand-chose à faire pour ça, tant elle se montrait déjà docile et obéissante, tant elle semblait avoir un penchant naturel et spontané pour la soumission. D’ailleurs elle ne protestait pas, ne cherchait pas à répondre à mes mots provocateurs, ni à se défendre, et n’exprimait pas non plus une quelconque crainte. Elle semblait finalement en confiance avec moi, semblant trouver du plaisir à se laisser guider là où je l’emmenais, comme si elle y trouvait ce qu’elle cherchait. Aussi, je me contentai de lui ordonner : " - Penchez-vous en avant sur ma table. Oui, c’est ça, encore plus. Et écartez bien les cuisses. Oui comme ça. Ah Madame Dubuis, vous m’offrez une vue imprenable et ravissante. Je n’ignore plus rien de votre anatomie, à présent. Vous n’avez plus de secret pour moi. Quelle vue sur votre corolle bien ouverte, quelle vue sur votre anus ! Et je trouve vos petits nichons de souris ...