Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. (2)
Datte: 29/05/2019,
Catégories:
Hétéro
... bien excitants, comme ça, tout pendouillants et tout pointus, presque à toucher ma table ! Dans cette position vous êtes parée pour la levrette. Et on devine que vous êtes faite pour ça ! Mais vous êtes aussi dans la posture idéale pour recevoir un lavement. Hummm, administrer un lavement à une pharmacienne, quelle bonne idée, quelle perspective excitante !" J’écartai un petit moment ses fesses souples, examinai son cul sur toutes les coutures, palpant, attouchant, pelotant, pinçant les chairs offertes à ma vue, passant le bout de mon doigt sur l’anus borgne, en appréciant la douceur, entre-écartant les lèvres intimes, fines et roses comme du papier de soie, matant l’orifice rond et tout perlé de rosée, qui semblait si accueillant et n’attendre que moi. Puis, je lui annonçai : " - Ma petite Madame Dubuis je vais vous bouffer le cul !" Je m’accroupis et ma langue fit son office, passant et repassant à maintes reprises sur le petit cratère tout rond et déprimé, tandis que mes mains maintenaient les hémisphères écartés. Elle émit force soupirs, tandis que ses mains s’étaient posées bien à plat sur la table, et elle s’offrait de façon bien émouvante, appuyée sur les avant-bras, tandis que ma menteuse et ma bouche honorait son petit temple si secret. Je fis durer cette feuille de rose plus que de raison, lui léchant également les fesses qui sentaient bon le parfum d’un savon délicat, voire, peut-être, une eau de toilette (jusqu’où la coquine n’avait-elle pas poussé la coquetterie ...
... ni affuté ses armes de séduction), et le pourtour des grandes lèvres. " - Relevez-vous !" lui ordonnai-je, "cuisses bien écartées ! Et les mains dans le dos, comme une parfaite soumise !" Elle s’exécuta avec zèle, se mettant presque au garde-à-vous, les joues très rouges. Je la contemplai quelques instants, ses yeux étaient troubles et brillants derrière ses petites lunettes à monture fine et dorée, regardant au loin, manifestement bien décidée à jouer jusqu’au bout son rôle de soumise obéissante. C’est moi alors qui glissai à genoux, mes mains descendirent sur ses cuisses nues et douces, et je me plaçai entre ses jambes ouvertes. Ma bouche monta jusqu’à la source des plaisirs. La corolle était bien ouverte, les fines pétales écartées et gonflées par le désir, d’un rose bien vif : j’entrouvris la bouche et la collai contre cette autre bouche, chaude et douce. J’aimai immédiatement le goût musqué que j’y trouvai et la suavité de ce fruit exquis. Ma langue se mit à parcourir toutes les anfractuosités à sa portée, glissant en des mouvements répétitifs, tantôt circulaires, tantôt montants et descendants. zoqzggew La belle, bien obéissante, résista au besoin de se tenir, de poser mes mains sur mes épaules, et gardait, telle une bonne élève qui a compris la consigne et se fait un devoir de la suivre jusqu’à nouvel ordre, ses bras derrière elle, ses mains tenant ses avant-bras. C’était à peine croyable, elle avait dû avoir pour livres de chevet des romans polissons. Par contre, elle ...