Péripatétichien (4)
Datte: 29/05/2019,
Catégories:
Zoophilie,
La garce est revenue seule. J’étais un peu déçu mais, tout en enlevant son soutif, elle m’a dit avoir trouvé une autre nana pour un autre soir. On n’avait plus qu’à voir comment tirer le meilleur parti du chien et lui apprendre à bien baiser. Et, tout en tripotant ma pine, elle m’a provoqué en me demandant si, ce soir, j’allais tenir la distance. Je pensais en moi même que j’allais la défoncer par tous les trous et qu’elle en redemanderait! Mais, je dois le reconnaître, la séance de cul avec mon clebs m’avait bien plu. Cela m’avait même franchement excité. J’ai toujours aimé les plans à plusieurs, moi avec des nanas ou une nana avec un ou deux potes bien teubés, d’autant que, dans cette dernière configuration, c’est souvent moi quand même qui ai la plus grosse. Il n’importe, voir une meuf se faire prendre m’excite, surtout quand je participe aussi. Je ne peux pas dire que la nana me plaisait plus que la première fois. Je ne la trouvai toujours pas spécialement belle, même si elle avait tout ce qu’il faut où il faut. Mais, je n’avais pas eu le temps de bien profiter d’elle. Il était tellement inattendu de voir mon chien la grimper que j’avais pensé à autre chose et que, fasciné par cette scène improbable, j’avais joui dans sa bouche avant d’avoir pu lui éclater tous les trous. Outre ma fierté personnelle qui s’en trouvait blessée, je pensais qu’une nana qui acceptait comme ça, sans sourciller, de se faire monter par un chien ne devait pas avoir beaucoup de limites sous ...
... l’homme. Il fallait donc que je la tronche derechef. Et puis, elle n’avait peut-être pas tort. Si des nanas étaient partantes pour ce genre de trip très spécial, surtout en payant, je serais bien con de ne pas en profiter, surtout que mon chien semblait avoir de bonnes dispositions pour ce genre de jeu. Mais Jessica, pour le moment me paraissait indispensable. Quoi qu’elle en eût dit, sa façon de se faire enfiler par Apollon me fit penser qu’elle n’en était pas à son coup d’essai. Sûrement, elle avait déjà une pratique certaine de la zoophilie et j’avais besoin d’elle pour former mon chien à cette pratique. Quand ce serait fait, il serait toujours tant de l’envoyer se faire foutre... ailleurs. Je fis donc contre mauvaise fortune bon cœur. Après tout, j’allais la sauter comme il fallait cette fois mais en me promettant bien de laisser d’abord agir le chien et de la prendre pour moi seul après. Il se trouve qu’elle était à peu près dans les mêmes dispositions que moi car après m’avoir bien tâté la bite elle réclama le chien. Elle procéda avec méthode et j’en déduis que mes hypothèses étaient justes. Elle était experte en amours canines. D’abord, elle me faucha mes chaussettes : "Pour qu’il ne nous griffe pas" précisa-t-elle. Puis, entièrement à moi, elle me demanda de bien lui préparer la raie, ce que je fis sans trop de mal à coups de langue et de doigts. Elle était nettement plus fraîche que la première fois. Savulve était délicatement parfumée et je la bouffai comme un dessert des ...