Péripatétichien (4)
Datte: 29/05/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... plus délicats. Dès qu’elle commença à s’agiter un peu et à mouiller, elle m’ordonna d’aller chercher le chien. Il s’agissait, disait-elle, de l’empêcher debander trop vite pour qu’elle ait le temps de se faire enfiler avant que le bulbe n’enfle dans des proportions qui rendaient l’intromission impossible. Il fallait que le "knot", c’est comme cela qu’elle disait, se développât en elle pour lui éclater le trou. — Et si c’est trop gros ? Et si ça marche pas ? M’inquiétai-je ? Si tu as mal ? — Te fais pas de souci ! Je suis sûr qu’une fois qu’il sera à l’intérieur et qu’il gonflera, ma chatte s’y fera, et avec plaisir encore ! Je me dis qu’elle devait avoir raison, mais avec un peu d’appréhension. Si ça foirait, je me voyais mal appeler les pompiers pour leur dire d’emmener aux urgences une nana avec un chien bloqué à l’intérieur. Quand j’étais au lycée, j’avais entendu, des histoires, légendes urbaines ou réalités, de nanas admises à l’hôpital avec toutes sortes d’objets bloqués dans la chatte ou dans le cul, de la carotte à la canette de bière, et cette histoire d’une femme montée par son berger allemand qui était resté coincé à l’intérieur et qui avait dû se faire transporter à l’hôpital où son mari, chirurgien, était de garde à ce moment-là. Vraies ou pas, ces récits trottaient dans ma tête au moment où j’allais chercher Apollon. Quand j’entrai avec le chien, la fille se mit à genoux et l’animal lui fit fête. Il la reconnaissait et l’appréciait mais, pour autant ne bandait ...
... pas encore. La meuf voulait qu’il lui lèche les nibards. Elle les tenait fermement dans ses mains pour les lui présenter mais le chien frétillant juste d’impatience et de plaisir mais ne songeait nullement à faire ce qu’elle en attendait. — Tu as quelque chose de sucré ? — De sucré ? — Oui, miel, sucre en poudre... — Oui... du sucre en poudre... pourquoi ? — Pour m’en foutre sur les tétons et qu’il commence à lécher. — OK viens dans la cuisine. Mais avant d’y arriver, elle se ravisa : — Attends ! Ce serait mieux si tu me pissais dessus. — Tu veux que je te pisse dessus ? — Oui. Il aimera mieux que le sucre. — Tu crois que le chien va aimer la pisse ? — Oui. — N’importe quoi ! — Fais-moi confiance. — Après tout... C’est toi qui vois ! La salle de bain était juste là, il nous fallut un rien de temps pour être dans la douche. Elle se mit sous le robinet. Je bandais mou mais rien qui m’empêchât d’uriner. — Arrose-moi bien les nichons ! C’était excitant de voir cette grosse truie offerte. Je dirigeai ma bite avec application où elle le souhaitait et la couvrit entièrement. Elle essayait de relever l’extrémité de ses seins pour qu’ils fussent bien mouillés. Quand nous eûmes fini, je m’essuyai les pieds et elle le corps, à l’exception des nichons. Le chien nous attendait en allant de droite et de gauche dans le couloir. Il nous suivit et, dès qu’elle se mit face à lui, toujours à genoux, il renifla les nibards et, effectivement commença à les lécher avec empressement... et au bout de ...