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Péripatétichien (4)
Datte: 29/05/2019, Catégories: Zoophilie,
... quelques secondes, je vis la bite rouge sortit du fourreau. — Il commence à bander; dis-je — Super. Allons-y ! il ne faut pas lui laisser le temps d’aller trop vite. Elle se mit rapidement en levrette. Il renifla la moule rapidement puis se mit en devoir de la grimper, ce qu’il fit tout seul. — Aïe ! On a oublié les chaussettes. Il me griffe le bâtard ! Effectivement, de belles estafilades rouges zébrèrent le dos de la pauvre garce. J’avais moi-même gardé des séquelles identiques sur le torse, après notre première séance. Quand il va être bien calé, tu vas les lui mettre par précaution au cas où il bougerait beaucoup et pour quand il va se retirer. Il fallut à nouveau que j’aide le chien à trouver le trou. Sa bite était incroyablement dure, comme du béton, pire que la mienne. Il mouillait déjà et dès que le bout du zob fut dans la chatte il glissa et s’enfonça jusqu’au bout. La fille cria. Je me plaçai ensuite de sorte à bien pouvoir observer le nœud enfler mais je ne vis pas grand-chose. La fille commentait. — Ouh ça grossit... il explose. Ouah c’est énorme... Ah...Ah...Ah... c’est comme si j’avais une balle de tennis dans la chatte... même plus gros. C’est bon, il est tout au fond, il me remplit bien le trou... géant. Désormais le chien n’avait plus besoin de moi et je commençai à jouer avec la fille. Je lui tripotais le clito et mesurait ainsi la dilatation de ses chairs. C’était très impressionnant. Je lui palpais les nichons. Je bandais comme un turc. Je me faufilai ...
... comme je pus sous la fille en faisant attention à ne pas déséquilibrer l’équipage. Elle se mit à me pomper mais je me promis bien de ne pas me faire avoir comme pour la première fois et de contrôler mon excitation afin de la fourrer par tous les trous avant de lui pisser ma jute sur sa face de grossepute. Ce ne fut pas aussi facile car elle jouissait sans retenue. Parfois, elle arrêtait de me bouffer le dard pour se mordre les lèvres ou tirer la langue de contentement, comme le chien. Elle me fit d’ailleurs observer que celui-ci puait de la gueule et qu’il serait bon d’apprendre à lui faire une toilette convenable pour qu’il ne dégoûte pas les femelles qu’elle se proposait de faire défiler dans mon appart. La garce avait quand même un sacré talent de pompeuse. Qu’est-ce que ce devait être quand elle s’y consacrait à plein temps, au lieu que d’être perturbée par le pinage du clébard ! Mon toutou était ravi, du moins donnait-il tous les signes du plus grand contentement. Il ne faiblissait ni en rythme ni en force. Ses coups de reins, brefs et rapides, gardaient une cadence presque chronométrée. On n’entendait pas la chairclaquer car il ne se décollait pas du cul de la femme mais juste un petit bruit, semblable à celui que fait la terre gorgée d’eau qui gicle sous nos pas, souvent couvert par le souffle du chien pareil à un halètement de soif. Quand elle n’était pas occupée à sucer mon gland à me lécher les pompons ou à tordre sa bouche de bonheur, la grosse Jessica criait son ...