Après-midi - Histoires de Sexe

Après-midi

... mélanger allègrement les rôles sans se soucier du protocole ! Je reconnais que je ne suis pas contre le fait d’éveiller chez un homme un tel intérêt pour ma petite personne. Je réponds passionnément à son baiser. Je ne sais pas ce qui va se passer ce soir ; j’essaie de profiter du moment présent, de cet homme qui me fait tourner la tête, et je m’abandonne à lui… Peu après, c’est lui qui est plaqué ventre contre mon dos, en train de me masser fermement les seins tandis qu’une certaine chose dure appuie fortement entre mes fesses. Je jette mes bras autour de son cou, complètement cambrée contre lui. J’ai des doux frissons quand il m’embrasse dans le cou. — Vous êtes une adorable petite chose, Valérie ! Je me demande comment on peut se lasser de vous !— Tout nouveau, tout beau !— Vous êtes cynique !— Non, non… réaliste, c’est tout… Je suis votre nouveau jouet, alors vous en profitez. Mais plus tard…— Plus tard, je continuerai à profiter de vous, Valérie, c’est aussi simple que ça !— Dois-je te croire, Max ? Dois-je vraiment te croire ? Et je me laisse aller contre lui, profitant de son corps, de ses mains, de son sexe, son appétit, de son désir pour moi… Ne pas penser, ne pas réfléchir à demain, vivre l’instant présent… Alors je ferme les yeux et je me laisse bercer par la convoitise de Max… C’est un très doux moment, très tendre, à en pleurer… Mais je garde mes yeux fermés pour qu’il ne voie rien… Non, je ne veux pas qu’il sache… Après avoir bu ensemble une nouvelle fois, Max ...

... est assis dans le canapé, bite bien dressée comme toujours. Quand faiblira-t-il ? Il est vrai que l’attrait de la nouveauté (en l’occurrence, moi) aide beaucoup à durcir les choses ! Il me fait signe de venir. — Viens plus près, ma soumise !— Que désirez-vous, Maître ?— Vous, bien sûr ! Et toi aussi, je te veux ! Toutes les femmes qui sont en vous et toi ! Docile, je m’approche ; mis à part moi, que désire-t-il ? — Tu vas te retourner et me présenter ton beau cul ! Puis tu viendras t’asseoir en t’enculant sur ma queue ! Une fois qu’elle sera complètement en toi, tu te laisseras aller contre moi pour que je puisse m’occuper de tes adorables nichons et te masturber en même temps. Je veux que tu jouisses de la sorte, ma bite dans ton cul !— Je suis votre dévouée enculée, Maître.— J’aime quand tu parles comme ça ! Continue !— Bien, Maître. Votre petite putain va venir vous offrir son cul. Je me positionne entre ses jambes, lui tournant le dos ; puis, lentement, je m’assois tandis qu’il guide son sexe vers mon entrée des artistes. Soudain, je sens son gland appuyer sur ma cuvette. Je demande respectueusement : — Vous préférez lentement ou d’un seul coup, Maître ?— Lentement, pour que tu sentes bien ma queue entrer en toi et aussi pour que je sente bien ma bite explorer ton trou du cul, ma belle salope.— Bien Maître : je vais y aller doucement pour que vous m’enculiez comme une vulgaire poufiasse. Petit à petit, la verge de mon Maître disparaît dans les profondeurs toutes propres. ...