1. Après-midi


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, extracon, forêt, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, coprolalie, extraconj, fsoumisah,

    Divers protagonistes : Les divers épisodes de cette série peuvent être consultés indépendamment. La voiture file dans la campagne et s’approche d’un petit bois. Quelque chose me dit que c’est ici que va se dérouler la suite. J’espère simplement que ça ne va pas être trop physique, car après un bon repas, je ne suis pas au top de ma forme, il me faut un minimum de temps pour récupérer ! En effet, notre voiture se gare sur un parking, coincé entre la route et la rivière. Parking, c’est vite dit, une sorte de chemin de terre assez large. Maître sort le premier et explique : — C’est un petit bois pas très fréquenté ; d’ailleurs, il n’est pas aménagé, contrairement aux autres des alentours. Donc pas de danger ou si peu.— Il n’est pas bien grand, ce bois, entre la route et la rivière…— Nous sommes à la pointe du triangle, il s’évase beaucoup plus quand on s’enfonce dedans, mais il n’est pas bien grand, en effet. Allons-y ! Et nous nous enfonçons dans ce petit bois. Encore heureux que la terre est dure, car avec mes talons-aiguilles, ce n’est pas du tout évident ! Après quelques minutes, Maître bifurque dans un petit sentier nettement plus étroit, puis un autre. Puis nous arrivons dans une petite clairière. Maître ordonne : — Maintenant, enlève ta robe !— Bien, Maître. Et me voici nue sous le regard des hommes. — Nous allons jouer à la chasse, genre comte Zaroff. Je te laisse cinq minutes d’avance pour te cacher, puis nous nous mettons à ta poursuite. Le premier qui te capture aura ...
    ... les pleins droits sur toi.— Oui, Maître, mais je m’enfuis dans quelle direction ?— Là, à ta droite, ça mène vers la rivière et ça t’éloigne de la route, ce qui est préférable. Plus par-là, c’est le parking. Bref, tu ne peux pas te perdre !— C’est surtout vous, Maître, qui ne pouvez pas me perdre en m’envoyant dans un cul-de-sac !— Tu as parfaitement raison ! Je ne tiens pas à te perdre ! Allez, sauve-toi ! Et il me donne une grande claque sur les fesses. Alors, en me dandinant comme je peux sur mes douze centimètres, j’essaie de m’éloigner de la petite clairière, mais je me doute bien que le jeu est totalement faussé ! Nue, seulement habillée de bas sombres autofixants, et perchée sur de hauts talons improbables, je dois paraître plutôt déplacée dans cette végétation. Je me demande ce que diraient des promeneurs si je tombais nez à nez avec eux ! Je préfère ne pas trop y penser, et je m’enfonce vers la partie la plus sombre du bois, espérant faire illusion quand même quelques minutes ! Je viens de dénicher un petit endroit assez retiré. Je stresse un peu car depuis tout à l’heure, c’est fou tous les bruits que j’entends ! En réalité, un petit bois, ce n’est pas du tout le monde du silence ! Je m’appuie contre un arbre pour voir si les hommes arrivent ou pas. Soudain, j’entends comme un bruit de pas juste derrière moi : — Vous savez que vous êtes magnifique ? Surtout nue au milieu des bois ! Pivotant aussitôt sur moi-même, c’est avec une stupéfaction sans borne que je retrouve ...
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