Après-midi
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
forêt,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
extraconj,
fsoumisah,
... arrangés par ma balade dans les bois. C’est après que je réalise que je lui ai obéi tout naturellement ! Max sort un mouchoir de sa poche et s’agenouille devant moi : — Posez une main sur mon épaule et donnez-moi votre pied que je nettoie votre chaussure… Vous avez des sacrés talons quand même !— Vous… vous n’êtes pas obligé…— Tout le plaisir est pour moi… Voilà… l’autre pied, s’il vous plaît… Une fois de plus, j’obéis ; mon autre chaussure redevient nickel. Juste avant de se relever, il dépose un baiser brûlant sur mon pubis ; j’en ai un savoureux frisson ! — Venez, que je vous fasse visiter. Il serait dommage que vous soyez vêtue : il fait si beau et vous êtes si belle !— Ah oui ? Pourquoi êtes-vous habillé alors s’il fait si beau ?— S’il n’y a que ça pour votre agrément… Et il commence à ôter sa chemise ! — Non, non ! Vous pouvez rester habillé !— Ah bon ? Chemise largement ouverte, il m’entraîne vers la porte d’entrée. Perchée sur mes talons-aiguilles, je me dandine tant mieux que mal à ses côtés. Peu après, nous sommes dans son salon : c’est sobre mais bien décoré. Rien à redire ! — Vous désirez boire quelque chose, Valérie ?— Vous avez duIce Tea ?— Oui. Quel parfum ?— Peu importe…— Eh bien, je vous amène tout de suite votreIce Tea au « peu importe » ! Malgré la situation un tantinet ambiguë, je ne peux m’empêcher de sourire. Il disparaît dans ce que je pense être la cuisine. De là, je l’entends me dire : — Asseyez-vous, je vous prie ; n’importe quel canapé ou fauteuil.— ...
... Merci, Maî… Je me retiensin extremis de dire « Maître ». Malheureusement pour moi, il rétorque, amusé : — J’ai entendu !— Vous n’avez rien entendu du tout, Max ! Dans vos rêves !— C’est vous, mon rêve ! C’est avec stupéfaction que je le vois revenir nu dans le salon. Il n’y a pas à dire, c’est un bel homme qui s’entretient sportivement ! Ni trop, ni pas assez, bref, la faible femme que je suis en ferait bien son goûter ! Par contre, ce qu’il a entre les jambes – ou plutôt au-dessus des jambes – est peut-être un peu trop dressé ! Comme je me suis assise dans le canapé, il s’installe tout naturellement à côté de moi. Il me tend un verre : — Excusez-moi de vous le dire ainsi, mais comme captive enlevée, je vous trouve bien téméraire !— Comment ça ?— Vous auriez pu rester debout, vous asseoir dans un fauteuil, vous enfuir même. Mais non, vous choisissez le canapé. C’est une claire invitation, non ?— Aussi claire que vos intentions en étant nu juste à côté de moi.— C’est vous qui m’avez suggéré l’idée, tout à l’heure, je vous signale ! J’évite de répondre en buvant une gorgée. Ça me fait du bien, un peu de fraîcheur. Décidément, il était prévu que le week-end soit plein de surprises ; mais là, ça dépasse tout ce que j’aurais pu imaginer ! Le pire, c’est que je semble trouver cette situation assez normale ! Non, pas vraiment normale, mais disons incontestablement intéressante. Je repose mon verre, tout comme lui, et j’attends la suite. Étrangement, je ne me sens pas en danger avec ...