Après-midi
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
forêt,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
extraconj,
fsoumisah,
... gardant bien contre lui, ses mains caressant mon dos dénudé, tandis que je me laisse faire ! Le pire est que je n’arrive pas à rassembler mes idées pour tenter de sortir de cette étrange situation. Je sens ses doigts descendre petit à petit, très tendrement, ça me procure des doux frissons ! Puis d’une main très câline, il tâte mes fesses, ou plutôt ce qu’il y a entre elles : — Eh oui, vous avez toujours votre rosebud ! C’est admirable !— Ne me l’enlevez pas, je dois le garder, ça fait partie des ordres !— Non, non, je ne vous l’enlève pas, c’est vous que j’enlève !— Comment ça ? En un seul mouvement de sa part, décollée prestement du sol, je me retrouve dans ses bras ! — Mais ! Vous… vous faites quoi ?— Je vous enlève, vous et votre rosebud, je viens de vous le dire à l’instant.— Mais… mais… ce n’est pas possible ! Il me fait taire d’un baiser. Ça me tétanise à nouveau, je suis comme transformée en statue de pierre. Puis quand nos lèvres se décollent, il s’éloigne calmement, m’emportant nue dans ses bras. Petit à petit, je commence à recouvrer ma lucidité : — Vous pouvez me dire où on va, là ?— Pour commencer, dans ma voiture… Je vous donnerai ma veste, elle vous ira très bien. Entre nous, j’aurais préféré pouvoir vous garder nue à mes côtés, mais la gendarmerie et les bonnes gens risquent de ne pas être d’accord ! Ils ont tort, vous êtes belle à croquer ! Je m’étonne de l’avoir laisser parler si longtemps ! Je me raidis un peu entre ses bras : — Écoutez, je sais que ça ...
... doit être très amusant pour vous, mais pour moi, il en va autrement !— Vous avez tort, je ne vous veux que du bien !— Je vous signale qu’il y a deux hommes qui vont chercher après moi !— Je vous signale, adorable soumise, que je ne vous ai pas trop entendue les appeler au secours…— Je peux y remédier, vous savez ! Et j’ouvre la bouche. C’est alors que j’ai droit à mon troisième baiser ! Enfin, non, le quatrième si je compte celui du restau. Et ce baiser-là, il me fait fondre comme de la neige au Sahara en plein midi ! Je ne comprends plus rien à ce qui se passe : veste sur les épaules, je suis dans la voiture d’un parfait inconnu qui m’emmène je ne sais où ! Et je me laisse faire ! Peu après, nous arrivons dans un petit village que je connais mal, puis devant une maison isolée derrière une grille qui s’ouvre automatiquement. Ou bien mon ravisseur a un bon métier, ou bien il a fait un bel héritage ! Un mini-parc bien entretenu entoure une chaumière en L avec un faux air de moulin, le tout assez typique des années soixante-dix. Ça fait plutôt kitch, mais c’est mignon. Nous sortons de la voiture, je continue à regarder ce qui m’entoure. Max s’amuse de me voir tout examiner : — Cela vous convient-il ?— Il faudrait être difficile !— Pourriez-vous me donner ma veste, s’il vous plaît ? Avec les hauts murs qui bordent la propriété, aucun danger. Étonnamment, je lui tends sa veste qu’il pose sur le capot, me retrouvant à nouveau nue devant lui, sauf mes bas et mes talons-aiguilles bien ...