1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (10)


    Datte: 31/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... puis à ce prix-là, on peut le faire. Véro, je te parle franchement et je te sens coincée avec tes enfants et c’est justement l’occasion de se prêter au jeu et approche ton pied. Poursuivis-je. — On ne va pas baiser dans ma chambre avec mes gosses à côté ! Tu as perdu la tête Patrick…Je te savais détraqué mais pas à ce point ! S’agaça-t-elle en allongeant sa jambe. — Faut pas s’énerver, je ne t’ai jamais parlé de ta chambre. T’es pas de bonne humeur et tu es fatiguée à ce que je voie. Le mieux est d’aller se coucher. Lui dis-je en posant son pied par terre. — Et avec Patricia ? Rajouta-t-elle au dernier moment. Je commençais à comprendre sa distance et son agacement. Ma tante me faisait purement et simplement une crise de jalousie du fait d’avoir couché avec sa meilleure amie. Elle en oubliait que cette garce nous avait fait chanter et qu’elle ne nous avait guère laissé le choix. Il fallait que je la joue très fine. — Banal et avec une capote. Purement physique, pas d’émotions en ce qui me concerne. — Ah et tu l’as trouvée comment physiquement ? Dit-elle bien curieuse de connaître ma réponse. — Bah elle reste pas mal pour son âge et elle bronze intégralement ! — Moi je ne peux pas, j’ai Oscar et Jules et puis c’est très mauvais pour les seins ! S’exaspéra-t-elle. — Ah non je te préfère comme tu es ma Véro. Reste naturelle, elle représente tout ce que je déteste. — Ah bon ? — Oui elle est belle mais dénuée de charme, de sensualité. Il lui manque ce petit plus que tu as, tu ...
    ... comprends ? Renchéris-je en marquant de gros points. Ma tante allongea à nouveau sa jambe en guise de réponse et je me délectais de lui masser ses orteils gracieux, massage s’apparentant à de pures caresses. Ma tante ne restait pas insensible très longtemps et je m’amuser à passer mes mains sur ses mollets pour les rendre encore plus fins qu’ils n’étaient. A son regard, je comprenais aisément qu’une fierté intérieure s’emparait d’elle voyant son neveu à ses petits soins. L’épisode Patricia était clos mais je jugeais précipité de lui demander de me rejoindre le soir-même dans ma chambre, même si depuis près de trois jours je ne l’avais pour ainsi dire pas toucher. Je cessais mon massage pour me lever et Véronique prit nos deux verres en direction de la cuisine. — Je les laverai demain, j’ai la flemme… Murmura-t-elle de peur de réveiller les enfants. — Oui bon alors à demain. Lui dis-je en lui déposant un petit baiser rapide sur la bouche. — Ah c’est ta façon de me dire bonsoir maintenant ? S’étonna-t-elle vivement. — Je ne veux pas te brusquer après ce que tu m’as dit. En desserrant sans peine la ceinture de sa robe. — Patrick, j’ai été un peu perturbée avec Patricia et je ne pensais pas que je réagirais aussi sottement. Concéda-t-elle tandis que je déboutonnais sa chemise de pyjama. — Tu as réagi sous la colère. En ouvrant son haut pour découvrir ses seins endormis. — Ne m’en veux pas. — Tu es pardonnée… Soupirai-je en promenant ma main à la base de ses seins pour la laisser ...
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