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Séduction délicate de la soeur de ma mère (10)
Datte: 31/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou
... voyager au bas de son ventre. — Tu m’as manquée Patrick. En m’enlaçant pour un vrai baiser. Ce que nous faisions n’était pas prudent, un des garçons pouvaient nous surprendre au beau milieu de la cuisine. J’avais très envie de baiser ma tante, elle aussi par ailleurs. J’éteignis la lumière. Un peu surprise, Véronique savait fort bien que nous flirtions avec le danger. Seule la petite lanterne extérieure de la terrasse nous fit grâce d’un soupçon de clarté. Je baissais son pantalon dans la hâte mais elle préférait garder le haut. Dieu qu’elle fut appétissante avec ses jambes fines et sa chemise ouverte (!). — Patrick on joue avec le feu. Dit-elle en s’allongeant à ma demande sur la table. — Oui ma belle Tatie et maintenant ouvre tes jambes que je te goûte… En caressant l’intérieur de ses cuisses. — Patrick ! Je suis angoissée… On peut le faire demain… S’inquiéta-t-elle avec ma tête plongée entre ses jambes. — Tu sens trop bon ! En lui fourrant ma langue dans son sexe tel un goinfre. — Oh oui… Murmura-t-elle en balayant ses mains dans mes cheveux. Véro se tortilla sur la table de sa cuisine. Elle se tenait les jambes et se laissait savamment déguster son entrejambe par son neveu. Je connaissais bien ma tante désormais et quand sa respiration se faisait haletante, sa jouissance était imminente. Ce fut le cas. J’étais plus porté sur le cunnilingus que je pratiquais que de la baiser dans l’immédiat. La lueur de la lanterne sur son corps lui apportait des reflets argentés. Véro ...
... transpirait ardemment et après quelques petits cris étouffés, elle accoucha d’une lente jouissance. — Oh oui c’est trop bon avec toi…Gémit-elle en se laissant consommer. Son corps s’immobilisa agonisant du bien être que j’entretenais en stimulant sa zone à plaisir. Je buvais sa source, je respirais sa transpiration, je devenais fou de ma tante. Son sexe en redemandait, telle une source intarissable et j’avalais son breuvage au fur et à mesure qu’il s’écoulait entre ses lèvres trempées. — Chut… Lui fis-je en relevant la tête. — Quoi Patrick… Demanda-t-elle hagarde. — Il faut arrêter. — Non viens ! Maintenant ! M’ordonna-t-elle impatiente de recevoir ma visite. Je reculais avec mon index sur la bouche, signe de se taire. Véronique retrouva ses esprits et n’eut que le temps de fermer sa robe de chambre en oubliant le pantalon. — Maman ! — Oui Oscar Maman arrive. Dit-elle en se précipitant dans les escaliers. — Mais où étais tu ? — Je prenais un verre d’eau fraîche dans le frigo. Répondit-elle posément. La soirée s’arrêtait là. J’étais planté au milieu de la cuisine avec le pantalon de ma tante dans la main. Inutile de parler de mon sexe…la peine étant trop grande pour en évoquer son état. Véro avait des enfants et les jours passés à deux appartenaient désormais à l’histoire ancienne. Il me fallait tourner la page du livre du passé, difficilement. Bien sûr le jeu du chat et compagnie pouvait s’avérer palpitant mais seul dans cette pièce, je prenais conscience de la réalité de notre ...