1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (10)


    Datte: 31/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... S’insurgea-t-elle en posant la cafetière. — J’aime t’avoir près de moi. En gardant ma main immobile apposée contre ses lèvres intimes. — On pourrait attendre ce soir, ce serait moins risqué. Dit-elle sans grande conviction. — Fais pas l’idiote… Véro avait posé la cafetière depuis un moment et restait debout, puis elle fit un pas de coté en se mettant face à moi pour desserrer sa ceinture avec une certaine indolence. J’effleurais sa chatte une dernière fois pour ensuite baisser mon boxer. Avec ses yeux vifs elle défaisait un à un les boutons de sa chemise, consciente qu’elle m’exposait à chacun de ses gestes la nudité de son corps. Je bandais comme un damné en voyant de manière épisodique la naissance de sa poitrine, la peau laiteuse de son ventre et enfin l’éclat de son jardin secret. J’aurais pu rester des heures à la contempler… Véronique m’adressa une remarque concernant ma verge plus que bien portante. — Bah dis-donc ! La nature ne t’a pas oubliée. Constata-t-elle sexy au diable en soulevant sa chemise de nuit. — Oh bordel comme t’es bandante le matin toi ! Lui avouai-je en l’accueillant sur mes cuisses. — Tu sais, ça n’est pas prudent… Murmura-t-elle en se laissant envahir délicieusement de ma présence. — Tu as certainement raison… En ne pensant plus qu’à son corps fabuleux dévoré par mes pensées. — C’est bon de te retrouver. M’avoua-t-elle manifestant sa joie en m’enlaçant amoureusement. — Embrasse-moi ma belle Tatie. En caressant ses hanches pour mieux polir chacune de ...
    ... ses fesses. — Tu sais y faire avec moi. Dit-elle en m’accordant ses lèvres se fondant aux miennes. Nous faisions l’amour juste après le petit-déjeuner, nous savourions mutuellement ce moment sans oublier le danger qui nous guettait. Sans échanger un mot, Véro balançait son bassin en s’agrippant à mon cou remplie de mon gros sexe en elle. Avec un malin plaisir, ma tante se dispersait entre les baisers savoureux échangés et les variations de ma verge blottie dans son vagin. Nous baignions dans l’euphorie muette de notre accouplement quand le bruit électrique à l’étage se tut un cours moment. Véro angoissée se mua en statue, paralysée par le silence. Le temps s’était arrêté, elle avait le regard fixé vers le haut et quelques mots échangés entre les garçons nous firent penser à un début de dispute. Nous étions dans l’attente l’un dans l’autre. Je gardais ma tante en moi, je gardais mon sexe dans ses profondeurs mais au fil du temps, les brailleries s’estompèrent pour n’entendre que le sifflement des petits bolides. Véro reprit notre partie de baise en accélérant ses mouvements, elle se mouvait d’une manière érotique et sa respiration devenait dense, saccadée. Progressivement mon sexe se gonfla dans son orifice précieux, ma tante me serrait sentant mon désir et dans une symbiose parfaite, je tapissais d’étoiles le fond de son intimité sous le gémissement sourd de ma partenaire lumineuse. — Oui…oui…Susurra-t-elle dans le creux de mon oreille. — Jouis ma toute belle…jouis avec moi. ...
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