Séduction délicate de la soeur de ma mère (10)
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... relation stérile. Je baisais ma tante par pur bonheur, j’avais réalisé mon fantasme plus que diabolique en la sautant sous le toit de mes parents, mais je me rendais à l’évidence. Notre histoire était sans finalité. Je partais me coucher dans mon lit, seul. Le lendemain matin ma tante prenait son petit-déjeuner avec ses deux garnements, vêtue uniquement de sa chemise avec sa robe de chambre bien ceinturée. Nous échangions un discret regard et le temps d’embrasser mes cousins, Véro me fit un petit clin d’œil. Je ne comprenais pas toute de suite, mais quand Oscar m’apostropha, je saisissais la signification. — Eh Patrick ? — Oui Oscar, je t’écoute. — Bah avec Jules, on s’était dit qu’on pourrait jouer avec tes cadeaux maintenant avant de faire la toilette ? — Et votre Maman est d’accord ? — Oui, mets leurs les piles et je t’attends pour prendre le café. Répondit-elle coquine à souhait. Au moment de monter, les garçons m’attendant à l’étage, ma tante me prit à part. — Patrick, rends-moi mon pantalon de pyjama ! — Tu n’en n’auras pas besoin à mon retour… — Ah ah…et maintenant file ! Me lança-t-elle tout sourire en échangeant un baiser en douce. Le temps de mettre les batteries, Oscar improvisait un circuit et Jules plus jeune, éprouvait des difficultés avec les manettes. Une petite démonstration s’imposait et une fois que mon petit cousin eut pigé les rudiments du pilotage, je les laissais entre eux à une seule condition. — Vous devez faire votre toilette, je vous laisse ...
... 30 minutes pour jouer et après vous prenez une douche et puis après on fera autre chose, il pleut donc pour l’instant pas de piscine. — Patrick, juste une heure s’il te plait ? M’implora Jules. — Bon je dois avoir une conversation avec votre maman, donc une heure et si vous avez un problème, vous m’appelez en haut de l’escalier, vu ? — Super ! Dirent-ils en chœur. En descendant, j’entendais le bruit des bolides électriques. Un petit bruit strident qui se propageait jusqu’à mon arrivée dans la cuisine. Ma tante buvait son café et ses jambes croisées faisaient apparaît une de ses cuisses avec son pied à l’air qui se balançait. Véro n’ayant pas récupéré son pantalon, elle ne portait que le haut et le balancement de son pied lui donnait son charme matinal habituel. Elle avait son côté de la bourgeoise excitante un brin négligé et j’adorais observer ses lèvres au naturel. — Les garçons jouent en haut. Lui dis-je. — Oui je les entends, veux-tu un autre café ? Me demanda-t-elle en se levant. — Oui. Ma tante se pencha pour me le verser et ma main se glissa entre ses cuisses. Elle touchait sa peau soyeuse avec un passage lancinant jusqu’à hauteur du début de son intimité. Au lieu de la stimuler, je ne faisais que la couver dans son ensemble, j’avais pour ainsi dire le sexe de ma tante dans la paume de ma main. — Alors on oublie ton pantalon et du coup, on se retrouve presque à poil ma chérie ! Lui fis-je remarquer. — Ne m’appelle pas comme ça Patrick, ils pourraient entendre ! ...