1. Les fesses d'Eva.


    Datte: 03/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Au Cap d’Agde Juin 1980 Je m’appelle Éva et je vais beaucoup parler de mes fesses. Mais ne croyez pas que je fasse une fixation sur cette partie de mon corps, ce sont les Messieurs qui s’intéressent spécialement à elles. Moi, je suis nettement moins emballée. J’aurais préféré que ce soit un peu plus équilibré, un peu moins de fesses et un peu plus de seins que du 85 B. Un ami m’a dit un jour « Tu pourrais jouer au volley avec des Brésiliennes sur la plage d’Ipanema, ce sont tes fesses qu’on regardera ». C’est trop gentil et c’est même trop, tout court. Entendons-nous, j’ai de belles fesses… mais un peu moins bombées, ce serait largement aussi bien ! Seul avantage, et non des moindres, ça plaît énormément aux hommes. Sinon, physiquement, je ne suis pas mal… et même mieux que ça. Il paraît que je suis carrément séduisante, malgré mes petits seins et mes grosses fesses. Je suis blonde avec de grands yeux gris, grâce à ma grand-mère Suédoise. Je n’ai jamais connu mon père, j’ai même l’impression que ma mère ne sait carrément plus qui c’est. Elle a 38 ans et elle est belle. C’est d’elle que je tiens ma taille mince et mes fesses bombées. Ma mère est une servante. On dit qu’il n’y a pas de sots métiers, mais certains sont quand même plus glorieux que d’autres. Elle travaille depuis une quinzaine d’années pour la même famille. Je la connais bien, puisque, le mercredi après-midi, je devais rejoindre ma mère pour l’aider à faire la lessive et à la pendre. Ses patrons ne sont pas ...
    ... méchants, mais ce sont des patrons. Il y a Monsieur, Madame, Monsieur Louis et Mademoiselle Évelyne, c’est comme ça que je devais, aussi, les appeler, quand j’allais aider ma mère. Ils ne se gênaient pas pour me dire : « Éva, apporte-moi un Coca » ou « On a sonné, va ouvrir ». Quand je m’en plaignais un peu à ma mère (après tout, ce n’est pas moi la bonne) elle me disait « quelle importance… ». Les patrons de ma mère tiennent beaucoup aux usages : uniforme, révérence, sonnette pour appeler la servante… toute la panoplie. Je dois avouer que je trouve ma mère sexy dans son uniforme, avec son tablier blanc. Ses fesses sont bien mises en valeur, surtout quand elle nettoie à genoux. Disons que j’ai des sentiments ambigus en ce qui concerne son travail. Jouer à être la bonne, oui, en être une, certainement pas. Je me suis toujours dit : « Je serai médecin ou avocate. Je gagnerai beaucoup d’argent et c’est moi qui aurai une bonne. » Hélas, je n’ai pas brillé dans les études. Je viens d’avoir péniblement mon bac. Pour échapper à ma condition de prolétaire, il me reste les rencontres. Ce n’est pas convenable, mais je ne suis pas farouche… du tout et je plais aux hommes. Cet été, ma mère devait partir au Touquet avec ses patrons. J’ai décidé de partir seule dans le midi et plus spécialement au Cap d’Agde. Je m’imaginais nue, sur la plage, me faisant draguer par de riches jeunes gens. Je ne comptais pas rester seule longtemps et j’allais me servir de ce que j’ai de mieux, mes fesses. Mes ...
«1234»