1. Les fesses d'Eva.


    Datte: 03/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... petits moyens m’ont obligée à faire le voyage en car. Paris - Marseille, c’est 12 h. Ensuite, j’ai pris un autre car pour Béziers et un dernier pour le cap d’Agde. Quel voyage ! Bien sûr, on m’a draguée pendant ce voyage, j’ai même flirté pour passer le temps… Ce n’est pas que j’ai le feu au cul, mais je ne suis pas une ville fortifiée qui ne se rendra jamais : si un homme me plaît, je suis le genre de ville qui va lui remettre les clés en disant « bienvenue, étranger. » Dans la vie, je ne me laisse pas faire, mais sexuellement, ce n’est pas du tout la même chose. Je l’ai su très tôt. À une époque où je ne savais ni lire ni écrire, ou à peine, j’ai vu un film à la télé du genre « Les mille et une nuits » dans lequel il y avait des esclaves obligées d’obéir, sous la menace du fouet. Ça m’a tellement impressionnée que j’ai voulu écrire le mot « esclave ». Je savais déjà écrire un S, alors j’ai demandé à un oncle comment on écrit « clave » pour faire s-clave. Il m’a répondu « ça n’existe pas ». Depuis lors, dans mes rêveries, je suis une esclave dans un harem. Avec un partenaire, presque sans m’en rendre compte, je me retrouve à genoux ou à tendre mes poignets croisés pour qu’il maintienne fermement son… esclave. Dès que je suis sortie du lit, je redeviens « normale », même exigeante par moment ! Bref, je suis au Cap d’Agde avec mon sac à dos. Je vais dans le village naturiste et je me déshabille dans un coin. C’est vite fait, je n’ai qu’un mini-short en jean et un tee-shirt. ...
    ... Quelle impression délicieuse… Le vent léger fait se dresser la pointe de mes seins et ébouriffe les poils de mon minou. Je me promène, émue, dans le village. Presque tout le monde est nu. Ceux qui sont habillés doivent être des ouvriers venus faire un travail dans le village. Les policiers aussi, je suppose. Il y a de tout : des beaux, des moches, des minces, des gros, mais dans l’ensemble, pas mal de belles filles. La concurrence va être rude. Presque toutes les femmes ont la chatte épilée ou au moins toilettée, je dénote avec mon minou en friche ! Dans la galerie marchande, tout le monde est nu. Même les femmes dans les fauteuils du coiffeur. Première chose à faire : trouver un petit hôtel bon marché. J’entre dans un magasin de journaux et je m’adresse à la grosse dame blonde et nue, d’une cinquantaine d’années, en lui disant : — Pardon madame, je viens d’arriver et je cherche une chambre pas trop chère. Avec un fort du Midi, elle me répond : — Malheur, pitchounette ! Tout est hors de prix, ici. Tu dois aller à Agde ville, ou encore mieux, à Béziers. Je prends ma mine d’esclave du harem qui a peur de se faire fouetter pour lui demander : — Et du travail, Madame, vous croyez que je pourrais en trouver ? Elle me regarde en hochant la tête : — Mignonne comme tu es, c’est possible… Tu pourrais être serveuse. Pfff… serveuse ça ressemble fort à bonniche, mais bon : — Oui Madame, certainement. Elle écrit une adresse sur un morceau de papier et me dit : — C’est mon beau frère, tu ...