Les fesses d'Eva.
Datte: 03/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... peux lui expliquer que tu viens de la part de Mireille. Je la remercie grandement. Elle m’indique le chemin, puis m’embrasse sur la joue, ses gros seins contre ma poitrine menue, en disant : — Bonne chance pitchounette. Je me retrouve dans le village. Oh ! Tout le monde est nu et… Oh, moi aussi ! Je me rends à l’adresse de la dame. C’est le long d’un canal. Il s’agit d’un restaurant qui s’appelle « Chez Bruno ». Il y a aussi une terrasse vers l’avant et on entre d’abord dans un bar. J’entre. Il y a là un gros moustachu d’une cinquantaine d’années derrière le comptoir et une dizaine de clients qui doivent être des gens d’ici. Des ouvriers, ou des marins qui s’occupent des bateaux. Ils sont nombreux sur le canal, devant nous. Ce qui est surprenant, c’est qu’ils ont tous des vêtements. Moi, je suis nue comme un lombric le jour de sa naissance au milieu d’une dizaine d’hommes habillés. Je lui dis : — Bonjour Monsieur. Je viens de la part de Mireille du tabac-journaux. — Oui, c’est ma belle-soeur. Tu veux retenir une table pour ce soir ? Je suis devant le bar, face au patron, et je sens des dizaines d’yeux posés sur mes fesses… C’est gênant et troublant. — Elle m’a dit que vous cherchiez une serveuse. — Oui, j’ai une serveuse qui m’a lâché. Tu as déjà travaillé dans la restauration ? Pas la peine de mentir ! — Non monsieur, mais je suis motivée et je travaillerai dur. Un client derrière moi fait remarquer : — Elle n’a pas d’expérience, mais elle a mieux, tourne-toi petite et ...
... montre ton dos au patron. Je comprends très bien ce qu’il veut dire. En rougissant de nouveau, je me retourne. Le patron fait « fffwwwwwiiiii », il siffle, quoi ! Il dit : — C’est vrai que tes fesses, ça vaut tous les certificats. Tout le monde rigole. Enfin, moi, à moitié. — D’accord, je te prends à l’essai. — Merci beaucoup… — Attends. Le travail est dur. Tu devras aider au nettoyage de 10 à 11 h avec les autres, puis faire le service, ici, dans le bar et sur la terrasse de 11 h à minuit. Ah oui, c’est quand même 14 h de travail ! Et du nettoyage comme ma mère ! Du nettoyage toute nue, ça doit être très spécial ! Mais quel autre boulot pourrais-je trouver ? Et puis… j’essaie de trouver des raisons d’accepter, je ferai des rencontres… Ce qui serait décisif, c’est qu’il puisse me loger. Je lui dis : — Je dois aussi trouver une chambre, pas chère. Un des clients me dit : — Tu peux venir chez moi, j’ai un grand lit. Gros rires. Je suis consciente, à nouveau, qu’ils regardent tous mes fesses. — Il y a une petite chambre ici, tu peux la partager avec une autre serveuse. Dans ces conditions… Je lui tends la main, paume vers le haut en disant : — Je suis votre nouvelle serveuse. Il tape sur ma paume. On a conclu l’affaire, comme des marchands de chevaux… Un client lui dit : — Elle peut commencer tout de suite, Bruno ? On lui donnera des conseils. — D’accord. Dépose ton sac ici, petite. Je le dépose et sans mon sac, je me sens vraiment nue au milieu de tous ces hommes. Le patron me dit : ...