1. Conflit de génération


    Datte: 04/06/2019, Catégories: fh, hplusag, caférestau, noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, amourpass,

    Oh, c’est pas vrai… Cynthia me l’avait bien dit, ce type, Félix, est vraiment fantastique. Oh ! ce dont elle parlait, c’était de son humour, de sa culture, de sa sympathie et même de ses yeux bleus, vu qu’elle n’a jamais couché avec… Et ça, j’en mettrais ma main au feu, vu qu’elle est lesbienne jusqu’au bout des ongles ! Mais moi, en plus de tout cela, j’y ajouterai la façon qu’il a, entre autres, de vous lécher. C’est bien simple, à l’instant où sa langue se colle contre votre sexe, on serait prête à tuer père et mère pour qu’il ne s’arrête pas. Là, en l’espace d’une petite heure, cela fait déjà trois fois qu’il m’emmène au septième ciel, et il n’a toujours pas mis sa queue en moi ! Pourtant, l’objet, je l’ai en main depuis un moment, et je ne me souviens pas avoir vu un aussi gros autrement que dans les films. Ah, un petit coup de mou, juste assez pour que je reprenne mon souffle et que je puisse enfin l’emboucher, depuis le temps que cela me fait envie. Je m’agenouille, mais ce n’est que pour mieux me rendre compte que je n’arrive à en enfourner qu’une bonne moitié, il est vrai que je ne la joue pas gorge profonde. Je le tète, je le suce, je fais courir ma langue le long de son frein, mais j’ai quand même l’impression d’être une gamine qui essaie d’écrire avec un crayon de couleur trop grand pour elle. Il s’en amuse : — Laisse tomber, tu es géniale, mais j’ai mieux à te proposer. Alors, il m’allonge calmement sur le lit, et présente son énorme bâton de chair devant ma ...
    ... caverne intime. Il est si gros que j’en ai presque peur, et pourtant je ruisselle et je ne céderais ma place pour rien au monde. Et lorsqu’il entre enfin en moi, il le fait comme au ralenti, centimètre par centimètre, juste pour me laisser le temps de m’habituer à son engin puis, toujours avec la même délicatesse, il commence ses allées et venues. Il commence lentement, il accélère imperceptiblement, et mon plaisir monte en même temps qu’il augmente la cadence, jusqu’à l’extase finale. Sept heures trente. Ses assauts n’ont pas cessé de la nuit, je suis aussi heureuse qu’exténuée. Il jette un œil sur sa montre. — Il va falloir que je me sauve, je bosse tout à l’heure. On se revoit bientôt ? Je souris tristement. — Écoute, tu es, et de très loin, le meilleur amant que j’ai connu, mais je ne veux pas m’attacher à toi… C’est à son tour de sourire. — Ce n’est pas cela que je te demande…— Alors, si tu veux, on se reverra. Mais je veux que tu ne me considères que comme unefuckfriend. Il a une mimique amusée, comme si cela allait de soi. — Si tu veux… Là-dessus, il m’embrasse, et il disparaît dans l’escalier. Je sais très bien ce que je viens de faire, et ce qui va se passer. Il est trop beau, trop intelligent et fait trop bien l’amour pour qu’il ne soit pas déjà la coqueluche d’une quantité de filles. Déjà, en acceptant de le revoir, je ne suis pas certaine qu’il serait revenu, mais en m’y prenant de la sorte, c’est foutu. Et le pire est que je ne parviens même pas à le regretter. ...
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