Conflit de génération
Datte: 04/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
caférestau,
noculotte,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
amourpass,
... nous nous retrouvons dans des endroits plus ou moins saugrenus, et c’est l’occasion de quelques «quickies » d’enfer, qui me plaisent au moins autant que ces soirées romantiques. Le parfum de l’interdit est toujours terriblement attirant… Et ce soir, nous avons rendez-vous dans un grand hôtel et, comme à l’habitude, je me prépare chez ma mère. Au menu de ce soir, ce sera jupe courte, hauts talons, porte-jarretelles, bas noirs et tout le bazar, je me réserve d’ailleurs le droit de me rendre au restaurant avec ma culotte dans mon sac. Pascal adore cela, mais entre nous, quel homme n’apprécierait pas ce genre de faveur ? Lorsque je ressors de la salle de bains, j’ai la surprise de ne pas retrouver mon portable là où je l’avais laissé. Mieux même, le numéro de téléphone de Pascal a été effacé de ma liste de contacts. Ma mère, quant à elle, reste impassible. Ce mauvais coup ne peut venir que d’elle, mais il est inutile de le lui demander, je la connais assez pour savoir que, même si on la coupait en morceaux, elle n’avouerait pas. Je préfère laisser tomber, et puis, le numéro en question, je le connais par cœur. Lorsque je me pointe devant le resto en question, j’ai la grande surprise de ne pas voir Pascal. Pourtant, il est ponctuel, d’habitude… Et ma surprise est encore plus grande lorsque le maître d’hôtel se dirige vers moi. — Vous attendez un certain Pascal, Mademoiselle ?— Oui, tout à fait.— Il a téléphoné tout à l’heure, pour que nous vous informions qu’il ne serait pas là ...
... ce soir. Il a d’ailleurs décommandé la table et la chambre pour ce soir. Je suis infiniment désolé. Houla ! Quelque chose cloche, quelque chose de grave, probablement. Décommander une soirée, c’est déjà arrivé, mais il n’est pas du genre à me le faire savoir par le maître d’hôtel. J’attrape mon téléphone, mais il sonne dans le vide. Je n’y comprends rien. ---ooooOoooo--- Une semaine. C’est une semaine entière qui vient de s’écouler sans que j’aie la moindre nouvelle de lui. Et il reste parfaitement introuvable, j’erre comme une malheureuse dans tous les endroits que nous fréquentons, interroge toutes les personnes qu’il connaît, il a complètement disparu de la circulation. Quant aux flics, c’est très simple, ils s’en foutent… Alors, avec une copine, je mijote un traquenard. S’il est toujours à Paris, il va forcément relever son courrier à sa galerie, ou au moins le faire relever. Et puis, de toute façon, il va lui falloir des fringues propres… Alors, avec une perruque brune sur la tête, je me mets en planque à proximité de son domicile, dans la voiture de la copine en question pour qu’il ne se doute de rien. Dix heures, onze, minuit… Rien. Je commence à désespérer lorsque, enfin, une silhouette apparaît. Pas de doute, c’est lui… Alors, sans me précipiter et surtout sans retirer ma perruque, je sors de la voiture et me dirige vers lui. Ce n’est que quand j’arrive à quelques mètres de lui que je redeviens blonde. — Salut, Pascal. J’espère que tu as des explications… Pour toute ...