1. Ecole du sexe (8)


    Datte: 26/08/2017, Catégories: Hétéro

    Le lendemain, je me réveillai mal en point. L’espoir que j’avais eu la veille au soir de me sentir mieux s’était envolé au moment où j’ouvris les yeux. Je me levais. Alice me regardait de son regard attendrissant. -Tu as bien dormi ? Demanda-t-elle. -J’ai connu mieux, répondis-je laconiquement. -J’espère que tu vas mieux qu’hier soir, au moins. Je ne répondis rien. J’allais un peu mieux, certes, mais compte tenu de ce que je ressentais encore en ce moment, je ne pouvais pas appeler ça un progrès. -Bastien, tu sais qu’aujourd’hui, les cours commencent ? -Merci de me le rappeler. Elle me fit un mince sourire. Agilement, elle passa sa main sous les couettes et atteignit mes parties génitales. Toutefois, mon état ne me permettait pas de me résoudre à prendre du plaisir avec qui que ce soit. Je fus donc contraint de prendre sa main et de lui faire lâcher sa prise, aussi belle soit elle. Ma réticence, elle ne le cacha pas, l’agaça. -Bastien, tu as besoin d’aller mieux, laisse-moi faire. -Désolé Alice, mais tout de suite, je ne me sens pas de faire quoi que ce soit, même avec toi. Ses yeux se posèrent lourdement sur mon visage. Je sentais le reproche émaner de son visage. Vexée, elle descendit du lit et se leva devant moi. Ce fut lorsque je la vis nue, totalement, devant moi sans que je ne ressente aucune excitation que je m’aperçus que j’allais vraiment mal. Mes yeux se posèrent toutefois sur son corps, mes rien ne se produisit. Alice, voyant que je la regardai des pieds à la tête, ...
    ... souris. Cependant, ce rictus s’effaça lorsque, posant les yeux vers mon organe, elle ne le vis pas s’allonger. -Et maintenant, tu me mates sans même bander. C’est nouveau. Elle se tourna alors de côté et croisa les bras autour de sa poitrine et attendit que je descende du lit pour l’accompagner jusque dans la grande salle dans laquelle notre petit-déjeuner attendait que nous le dévorions avec appétit. Une fois assis à nos place, les autres étudiants de première année se montrèrent les uns après les autres. Dès lors que chacun fut installé, monsieur Auburn nous salua tous, comme à son habitude, et nous pûmes commencer à déguster nos bols de céréales, nos tartines grillées à la confiture, au chocolat ou au beurre. D’autres se contentèrent de quelques fruits et d’un laitage, un yaourt pour la plupart. J’entendis d’ailleurs la fille d’en face dire à son partenaire que s’il voulait du lait à volonté, il pourrait la faire tomber enceinte et boire au sein jusqu’à plus soif. Nos deux voisins d’en face rirent sur cette plaisanterie et finirent de manger. En ce qui me concernait, je ne voulais rien avaler mais Alice me le reprocha et me força à grignoter au moins quelque chose. Elle me tendit alors l’autre moitié de sa tartine à la confiture. Ne voulant pas l’offusquer, je la pris et la mangeai. Elle n’en sembla pas satisfaite pour autant. Lorsque chacun eut le ventre bien rempli, monsieur Auburn se leva et nous prévint que nos emplois du temps hebdomadaires se trouvaient en ce moment ...
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