Ecole du sexe (8)
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... Froufrou ne fit pas plus attention à ma sœur, même lorsque celle-ci se nettoya le visage avec ses doigts. Madame le professeur fut toutefois troublée de voir que je n’avais pas la moindre érection mais elle ne fit aucune remarque à ce sujet bien que, son visage le trahissait, elle semblait assez vexée. La fin du cours fut bientôt annoncée par la sonnerie et nous sortîmes tous ensemble de la salle après que notre professeur se soit rhabillée. Nous avions donc une heure de libre et pendant celle-ci, Alice me dit qu’elle avait besoin de passer aux toilettes. Je l’accompagnai donc. Nous gravîmes les marches jusqu’à revenir dans nos dortoirs où elle s’enfonça, moi à ses côtés, dans cette pièce que nous avions si souvent visitée. Cependant, à mon plus grand étonnement, ce fut dans les douches qu’elle s’arrêta. Elle me fit alors m’arrêter juste derrière la porte et m’attacha un bandeau autour des yeux. Je ne voyais plus rien, je ne pouvais plus que sentir ses doigts frôler mes cheveux pendant qu’elle faisait un nœud. -Tu né mérites pas encore de me voir prendre ma douche une nouvelle fois, tu en auras à nouveau le droit quand tu arrêteras de faire l’égoïste. Sur ce, je ne répondis rien. J’attendis simplement qu’elle ait fini que je puisse quitter au plus vite cet endroit. Toutefois, j’entendis la porte derrière moi claquer. Une voix s’ensuivit aussitôt, celle d’Alice. -Il est à toi, Mylène, fais-en ce que tu en veux. Mon esprit était tout embrouillé. Alice, que me faisais-tu ? Je ...
... cherchai aussitôt à enlever ce foulard de mes yeux, mais rien à faire, elle avait serré trop fort. Je restai donc là, cherchant, en vain, la porte de sortie. Ce fut alors que j’entendis un bruit de claquement de porte. Elle était entrée. Elle se tenait devant moi, j’entendais sa respiration. -Regarde-toi, Bastien. Tu n’es plus rien sans moi. Je n’eus pas la force de répondre. Je l’avais perdue depuis trop peu de temps pour pouvoir m’énerver contre elle. -Tu ne réponds rien ? C’est étonnant, pourtant tu n’as pas tant eu à réfléchir quand tu as choisi Alice. Tu aurais pu me choisir, moi, et tout aurait été mieux. Cette garce se serait tapée Fabian et nous aurions été heureux ensemble. Mais non, tu as tout foutu en l’air, j’espère que tu le sais. Tout ça pour une misérable petite … -Tais-toi ! hurlai-je. Ne parle pas d’Alice sur ce ton, je te l’interdis. C’est à moi que tu en veux, pas à elle, alors fiche lui la paix ! -Mais qu’entends-je, mon frère se rebelle ? Il semblerait. Dis moi, si je continue, que vas tu faire ? Sans lui laisser le temps d’attendre une réponse, je me jetai sur elle et la plaquai contre le mur. Mon torse se posa alors férocement sur sa poitrine qui, à ma grande surprise, avait durci lors de ce plaquage tandis que mon pénis, en érection, se posa à l’orée de son intimité. -Alors voilà, c’est ça ? Tu vas me baiser si je continue à l’insulter ? Et si j’ai envie que tu me baises, je n’ai qu’à continuer ? Vérifions ça. Je me demande si tu t’es améliorer depuis ...