Ecole du sexe (8)
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... que tu te vides en elle ? J’espère au moins qu’elle te suce bien, qu’elle vaille la peine que tu l’aies choisie à ma place. Je ne répondis rien à cette remarque. Au lieu de ça, je la retournai en arrière et, violemment, je rentrai mon pénis dans son fondement. Elle émit un cri qu’elle tenta à grand-peine de refouler. Je n’attendis qu’elle soit prête pour commencer de violents va-et-vient. J’y allai terriblement fort. Ici, il n’était pas question de lui faire plaisir. Je l’entendais cependant prendre ses aises durant cet acte bestial. Cela m’agaça au plus au point. Je passai donc à la vitesse supérieur jusqu’à ce que mon corps vienne claquer violemment ses fesses à chaque fois que j’enfonçai mon dard au plus profond de son corps. Lorsque j’eus atteint cette limite, je ne pensais plus qu’à une chose : la faire souffrir. -Regarde ce que tu me forces à te faire ! Hurlai-je. Je n’ai pas voulu t’abandonner mais je n’avais pas le choix. Toi par contre, tu avais le choix et tu as préféré me faire mal plutôt que de venir me parler ! C’est toi qui m’a abandonné ! Elle ne répondit rien. Pas étonnant, mes coups de boutoir étaient si puissants que je me demandai si je ne lui coupai pas la respiration. Je m’aperçus alors que je respirai bruyamment. Je ne me reconnaissais pas. Mais cela me faisait tellement de bien que je ne pouvais pas m’arrêter. Toutefois, l’once de bonté demeurant toujours en moi m’incita à ralentir la cadence. -Alors, on fatigue, me lança-t-elle. Tu ralentis, tu vas ...
... t’écrouler ? Comment osait-elle ?! Se moquer ainsi de moi ! Elle ne méritait pas que je la ménage. Je lançai immédiatement mes mains vers l’avant et agrippa ses seins avec énergie tout en les malaxant férocement. La cadence de mes coups de rein augmenta de plus belle, j’allais même encore plus vite que précédemment. J’entendis alors ma sœur hurler. Je savais cependant que ce n’était pas que de la douleur, elle semblait apprécier véritablement ce mélange d’émotions contradictoires. J’allais si vite qu’en à peine quelques secondes, je me sentis me vider dans son rectum. Quatre jets furent expédiés au plus profond d’elle tandis qu’elle hurlait comme une démente. Soudain, en y repensant, il y avait très peu de chances pour que personne ne nous ait entendus. A cette pensée, mon esprit s’embrasa. Alice avait dû tout entendre. Elle devait se sentir trahie. Je l’avais blessé en refusant ses gâteries et toute autre activité plaisante ce matin ainsi que la veille. Et maintenant, je la trompai avec celle qui était à l’origine de mon malheur. Qu’est-ce qui clochait chez moi ? Je sentis alors le corps de ma sœur tomber sur le sol, morte d’épuisement. Sous l’effet de la sueur, mon bandeau s’était desserré et je pus alors le retirer. Ce fut avec une immense surprise qu’à mes pieds, je ne découvris pas ma sœur, allongée sur le dos, ahanant bruyamment, mais Alice dont l’orifice arrière débordait de sperme, de mon sperme. Je la regardais. Son torse se soulevait et s’abaissait au rythme de sa ...