Une soirée agitée
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
pénétratio,
... enveloppe le globe par-dessus le tissu. Il prend de plus en plus goût à la chose et ne veut surtout pas que sa compagne interrompe le processus. Quand il sent la pointe vraiment tendue, il se permet de glisser sous la dentelle, appréciant la tiédeur du mamelon. C’est elle qui machinalement remonte son polo et son soutien-gorge. Pour lui, c’est l’autorisation d’aller plus loin. Quittant la bouche, ses lèvres viennent prendre la relève de ses doigts. Ces derniers libérés descendent doucement le long du corps, le long de la jambe. Quand il sent la tiédeur de la chair nue de la cuisse, Bernard immobilise un moment sa main, hésitant. En l’absence de réaction, il entreprend l’ascension de la jambe sous la jupe. Carine ne dit rien, elle a perdu pied, elle est tellement bien sollicitée. Les doigts rencontrent la culotte. Pensant aux conseils reçus, il frotte doucement dessus. Son index se recroqueville un peu et gratte le haut du triangle, sans appuyer vraiment. Ce chatouillement est bien accueilli, Carine laisse échapper une légère plainte. Enhardi, son doigt se glisse sous le tissu et vient en contact direct, rencontre une petite excroissance dressée. Il en fait le tour, la pince légèrement puis reprend la caresse. Le résultat ne se fait pas attendre, une tâche humide imprègne le tissu. La main tente une manœuvre en principe interdite, elle baisse le dernier rempart. Le travail lui est facilité, les fesses féminines décollent du canapé. Alors, lentement la bouche abandonne les ...
... seins et vient remplacer l’index, celui-ci se positionnant plus bas, pénétrant dans un antre humide. Avec beaucoup de précautions, il continue la manœuvre. Mais une main vient appuyer sur sa tête, exigeant un traitement plus sérieux. Alors, au diable les recommandations, le naturel revient au galop. Il butine d’abord, puis mange carrément cette figue bien mûre. Les gémissements se sont transformés en petits cris de bonheur et les mains féminines attirent la tête vers elle. — Oh, c’est trop bon, tant pis, viens vite. Se défaisant rapidement, il présente son dard bien dressé et s’enfonce dans ce marécage. C’est un galop rapide et désordonné et qui déclenche un plaisir fulgurant pour Carine. Bernard se dégage rapidement et souille le ventre de sa partenaire. — Oh, mon dieu, je suis folle ! Qu’est-ce que j’ai fait, jamais je n’avais trompé Thierry, je suis une salope.— Non, c’est ma faute, je n’aurais pas dû continuer, mais c’était si bon !— Oui, eh bien tu n’as plus besoin de leçon. Je vais me nettoyer et je remonte vite. Elle part, entravée par ses vêtements défaits, va dans la salle de bain, se nettoie et remet de l’ordre dans sa tenue. Elle est bientôt prête, mais culpabilise. Ce n’est pas de la faute à Bernard, c’est elle qui lui a demandé. Mais maintenant, comment le quitter, lui demander d’oublier, lui expliquer que ce n’est qu’un moment de folie. Et surtout, il lui faut rentrer vite chez elle. Comment faire. Elle reste un moment à réfléchir, entend son hôte qui remet de ...