1. Six "sions" pour une scission. (7)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Transexuels

    ... la cage de chasteté était extrêmement douloureuse. Je ne souhaitais plus être à la place de ces femmes qui prenaient leur pied sous les assauts de ces mâles en rut. Je voulais être ces hommes qui se vident dans ces femmes dans des râles de bonheur et de soulagement. D’ailleurs, j’avais carrément arrêté de m’habiller en femme, je redevenais Arnaud, petit à petit. Monsieur avait donc trouvé le moyen de définitivement oublier Jessica. En quelques jours, je me sentais de nouveau totalement homme. J’allais pouvoir rentrer chez mes parents, et me racheter à leurs yeux. « Eh bien Jessica, me dit Monsieur lors d’un repas, je peux t’appeler Arnaud on dirait, dorénavant. — Je crois que oui. D’ailleurs, il faudrait que vous m’enleviez cette cage et ce collier. Je n’en puis plus. C’est fini, tout ça, pour moi. — Ok nous verrons cela ce soir. Là, je dois m’absenter durant l’après-midi. Tu n’as qu’à aller faire un tour avec Lucille, elle doit aller cueillir du muguet dans les bois. » Nous partîmes donc Lucille et moi, dans les bois. C’était la première fois que nous partagions un moment à deux, sans que je sois Jessica. Là, j’étais Arnaud. Et nous n’avions rien à nous dire. Le silence était même parfois pesant, au fond des bois. Jusqu’à ce qu’elle me fit une annonce aussi inattendue que bienvenue : « Je crois qu’il est temps que je t’enlève ta cage et ton collier… Arnaud. » Je ne ressentis aucun pincement au cœur, rien de cela, aucune nostalgie envers cette période travestie de ma ...
    ... vie. Je voulais définitivement redevenir Arnaud. Je baissai donc mon pantalon, et Lucille m’ôta d’abord le collier, puis la cage. Dès notre retour à la maison, j’irais m’isoler pour me branler, c’était sûr. Lorsque nous revînmes à la voiture, au bord d’un chemin peu fréquenté, Lucille ôta ses bottes et son vieux pantalon, pour passer une robe moulante rouge magnifique, qui épousait parfaitement ses formes. Je ne voyais pas l’utilité de faire cela maintenant, mais elle était vraiment bandante. D’ailleurs, je bandais comme un âne. Enfin, comme un âne pas très bien monté. Mais cela se voyait quand même. « Ah ! Je fais quand même de l’effet à Arnaud ! s’exclama-t-elle. — Euh… tu me gênes là. — Allons, ne fais pas l’innocent, viens me baiser s’il te plaît, Robert n’en saura rien. — Hors de question, pas après ce que tu m’as fait. — Je pourrais t’aider à te soulager… » Je n’avais vraiment pas envie d’elle qui m’avait récemment fait vivre un calvaire. Mais j’avais besoin de me vider, après tout ce temps enfermé dans cette cage. C’est alors que je la vis déchirer sa robe, puis sa culotte. C’était hyper excitant. Puis elle se jeta sur ma bite et entama une divine fellation. A peine dix secondes plus tard, je lui annonçai que j’allais déjà jouir. « Non ! Attends ! me dit-elle en se relevant. » Je la vis alors pianoter quelques secondes sur son portable, mais n’y prêtai pas attention. J’avais envie de me finir dans sa bouche, sur son visage, sur ses seins bien apparents sous sa robe en ...