1. Six "sions" pour une scission. (7)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Transexuels

    ... lambeaux. Peu importe ! « Je veux que tu me baises la chatte ! me lança-t-elle. Pour sceller cette passion qu’il y a eu entre nous, même si tu étais Jessica. » Elle se pencha alors, à plat ventre sur le capot, et je la pris par-derrière. « Au secours ! A l’aide ! hurla-t-elle. — Mais calme-toi ! Tu vas attirer l’attention. — C’est un fantasme, laisse-moi faire, chuchota-t-elle. — Au secours ! » Je jouis alors dans sa chatte. Une jouissance très fournie, une éjaculation extrêmement dense, qui lui remplit littéralement la chatte. Après tout, j’en avais accumulé ces derniers temps avec cette cage de chasteté et tous ces films pornos. Quel plaisir ! « Tenez bon Madame ! entendis-je alors. » Et je reçus un énorme coup sur l’arrière du crâne qui me fit perdre connaissance. Je me réveillai dans la voiture, ligoté, avec Monsieur au volant, et Lucille sur le siège passager. « Il se réveille, dit Lucille. — ELLE se réveille, la corrigea Monsieur. Je te rappelle qu’il s’agit de notre petit sac à foutre. » Puis s’adressant à moi : « Alors petite trainée, on a voulu jouer au mec et violer ma femme ? Tu vois où nous sommes ? » Je levai la tête et vis par la fenêtre que nous étions garés devant un commissariat de police. « Lucille va porter plainte pour viol. — Ce n’était pas un viol ! C’est elle qui m’a chauffé, profitant de mon besoin de me vider les couilles après tout ce temps d’entrave dans la cage de chasteté ! — Je le sais ça. Mais comment expliqueras-tu aux flics que sa robe soit ...
    ... déchirée ? — Ils ne vous croiront pas. huvhzzof — Et le sperme qu’elle garde bien au chaud dans sa chatte ? — Mais elle était consentante, je le répète. — Et les témoins ? — Quels témoins ? m’étonnai-je. — Deux joggeurs qui passaient par là et qui, par chance, ont entendu les cris à l’aide de Lucille. Un certain Marc D. et un certain Louis M. Ce sont eux qui t’ont assommé. Ils sont prêts à témoigner devant les flics si Lucille porte plainte. — Marc M. ? Mais, c’est mon meilleur ami. — Un ami qui n’a pas hésité à envoyer une photo de toi le visage plein de sperme, à tes parents et leurs voisins, contre quelques billets. Et qui attendait sagement à 200 mètres de là, que Lucille lui envoie un texto lorsque tu la ‘violerais’. — Mon Dieu ! Comment avez-vous pu ? — Ta gueule poufiasse ! En plus, tu n’en étais pas à ton coup d’essai, comme tu l’as reconnu par écrit. Tu vas en prendre pour 20 ans. » Monsieur me tendit alors la lettre que j’avais signée, lors de mon pseudo jugement, sous les coups de cravache de mes geôliers. J’y reconnais que j’ai harcelé et violé Lucille à plusieurs reprises. Et ma signature serait facilement authentifiable. « OK ! J’imagine que vous attendez quelque chose de moi pour ne pas me livrer à la police. — Oui. Tu signes ce putain de papier, et tu nous donnes tous tes documents d’identité. » Il me tendit le papier que j’avais refusé de signer à mon retour chez eux. Je le signai sans hésiter. Je n’avais pas le choix, et déjà la situation m’excitait. En une ...