1. Lucille


    Datte: 08/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, vacances, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fsodo, uro,

    Lucille est une femme d’un certain âge avec qui j’entretiens des relations un peu particulières depuis déjà quelques mois. Nous nous sommes rencontrés dans un hôtel-club, lors d’un voyage aux Canaries. Nous étions tous les deux célibataires ou, plus exactement : elle était veuve alors que moi, de mon côté, je venais de me séparer d’avec ma concubine, à cause d’une sombre histoire de maternité. Cette grande femme grisonnante à l’allure plutôt austère m’a impressionné dès notre premier contact. Elle logeait dans une petite case juste en face la mienne et c’est au retour de la plage que je suis tombé nez à nez avec elle. Elle avait environ le double de mon âge, trente ans nous séparaient et cette grande perche me dépassait d’au moins dix centimètres. Affublée d’un long cou et de cheveux courts et très gris, elle me regardait d’un air sévère et amusé. J’ai tout de suite su qu’il allait se produire quelque chose entre nous, dès le premier regard, peut-être en raison de la façon mystérieuse avec laquelle elle me toisait. Elle donnait l’impression d’être comme un grand rapace, prêt à fondre sur sa proie. Et elle avait visiblement jeté son dévolu sur moi. Curieusement j’en acceptai de suite les augures. Nous avons échangé quelques banalités mais j’ai compris que nous serions amenés à nous revoir bientôt, et pas seulement pour des rapports de voisinage… Le soir même, alors que je revenais du restaurant, je la retrouve assise devant sa porte. Elle me hèle, de loin, avec une voix un ...
    ... peu enrouée et rocailleuse (j’apprendrai bientôt que c’était une grosse fumeuse). — C’est vraiment une nuit très, très chaude, m’annonce-t-elle de but en blanc avec, semble-t-il, quelques sous-entendus dans la voix, alors que je m’avance lentement, dans l’allée, à sa rencontre.— Effectivement, c’est une soirée très agréable.— Venez donc me trouver pour que nous parlions un peu, réclame-t-elle d’une façon qui ne permet guère le refus. Je m’approche de ma voisine, dans la demi-obscurité qui couvre la résidence, pour m’apercevoir, à son abord, qu’elle est complètement nue sur sa chaise ! Non, je ne rêve pas, elle est vraiment entièrement nue, nue de la tête au pied, ses jambes interminables étendues devant elle. Je n’en crois pas mes yeux, surtout lorsque je vois son entrejambe, couverte d’une belle touffe de poils drus qu’elle exhibe sans complexe. — Je vous choque ? demande-t-elle devant mon étonnement.— Non, ai-je du mal à répondre en ravalant ma salive, avec une petite voix mal assurée.— Oh si, je vois bien que je vous choque, insiste-t-elle lourdement. Approchez, je ne vais pas vous mordre, ajoute-t-elle, sur un ton sarcastique. Ce soir, j’avais envie de me mettre à l’aise… Un rai de lumière dévoile son corps. Elle est plutôt mince, longiligne, deux petits seins mous sont écrasés sur son torse, façon œufs sur le plat, et un gros buisson ardent couvre son entrecuisse, une belle touffe épaisse qui n’a probablement jamais vu l’ombre d’un rasoir, en tout cas pas dans les derniers ...
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