1. Lucille


    Datte: 08/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, vacances, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fsodo, uro,

    ... gambettes, elle est plutôt bien foutue ! Elle a laissé la porte ouverte, m’invitant à la suivre. J’hésite juste une seconde à la rejoindre. Après tout, qu’est-ce que je risque ? C’est si rare d’avoir de telles occasions, ce serait vraiment bête de passer à côté. Elle est assise en tailleur sur le lit, toujours entièrement nue et elle zappe sur toutes les chaînes sans trop faire attention à moi. Qu’attend-elle exactement ? Que je me jette sur elle ? Que je lui fasse l’amour ? Je me sens très emprunté et très gauche. J’ai peur d’être complètement à côté de la plaque. — Restez où vous êtes et déshabillez-vous ! ordonne-t-elle sans même me regarder.— Pardon ?— Vous avez très bien entendu, ne discutez pas et commencez par retirer votre short. J’hésite un peu, je n’ai pas l’habitude de me mettre ainsi tout nu devant une dame. — Votre slip maintenant… et enlevez aussi le t-shirt, que je puisse voir vos attributs. Je suis maintenant à poil et particulièrement mal à l’aise. Elle jette un œil rapide vers mon sexe encore mou et flasque. Puis elle coupe la télé et m’inspecte avec plus d’attention. — C’est tout l’effet que je vous fais ? ironise-t-elle avec un sourire moqueur. Cette chose, qui pendouille entre vos jambes, elle m’a l’air bien molle. Dommage, car elle me semble pourtant de taille respectable. Elle se lève, contourne le lit, s’approche de moi, saisit mes couilles à pleine main et les presse à m’en faire mal. Puis elle se penche vers moi et susurre à mon oreille : — ...
    ... Qu’est-ce qui pourrait vous faire bander, petit mâle ? Ça vous dirait de renifler ma chatoune ?— Ce serait avec plaisir… réponds-je en grimaçant, en priant pour qu’elle arrête de me maltraiter ainsi les couilles (ses ongles sont plantés dans mes bourses et la douleur est insupportable).— Je suis certaine que ça va vous plaire, conclut-elle en relâchant la pression. Elle se recule, grimpe sur le lit et m’invite à approcher. Avec ses très grandes jambes, son sexe est presque à la hauteur de ma bouche. Je porte mon nez vers son buisson. Il émane de sa caverne une odeur plutôt âpre qui me prend de suite à la gorge. Elle sent la jeune fille négligée, sauf que, dans son cas, ce serait plutôt la vieille fille négligée. Quel fumet, il est digne du bon roi Henri ! Passé le premier instant d’écœurement, je finis par m’habituer à ses fragrances poivrées. Pour entêtantes qu’elles soient, elles ne sont pas franchement désagréables, juste surprenantes au premier abord. C’est l’instant qu’elle choisit pour m’agripper par les cheveux et me plaquer la tête avec fermeté contre son entrecuisse. — Alors, elle sent quoi, cette chatte ?— Elle sent très bon.— Petit menteur ! Elle ne sent pas bon du tout, je sais qu’elle pue ou vous le savez tout autant que moi. Je la sens même d’ici ! Elle empeste. Je ne me suis pas encore lavée une seule fois depuis mon départ de Cahors, j’attendais patiemment de trouver un amant… J’adore partager mes odeurs fortes avec un mâle. Tout comme j’adore que les mâles partagent ...
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