1. Lucille


    Datte: 08/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, vacances, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral fsodo, uro,

    ... leurs odeurs fortes avec moi. Et si mon mâle veut que je sois propre, alors à lui de me laver avec sa langue ! Quelle cochonne ! En plus, je suis convaincu qu’elle dit la vérité. Elle presse un peu plus ma tête entre ses cuisses, pour bien me faire sentir, au risque de m’étouffer. Puis elle me prend à parti : — Avouez que je sens fort la pisse ! C’est si difficile que ça de dire que je sens fort la pisse ? Allez-y, essayez, dites-le : « Lucille, vous sentez fort la pisse ».— Lucille, vous sentez fort la pisse, réponds-je en écho.— Et alors ? Elle vous rebute tant que ça mon odeur de pisse ?— Non.— Au contraire, je pense que ça vous excite de respirer mes effluves. Je me trompe ?— Non.— Très bien. Alors, allez-y, ouvrez bien grand les narines. Et respirez-moi à pleins poumons. Elle me retient un long moment dans cette position pour me faire bien profiter de son odeur si particulière. Non seulement je finis par m’y habituer mais je la trouve de plus en plus sublime. C’est une véritable drogue : plus je sens sa chatte et plus j’ai envie de la sentir. Je deviens vraiment accro à son fumet ! Lorsque qu’elle relâche enfin son étreinte, je regrette presque qu’elle ne soit pas plus tenace. Je serais bien resté toute la nuit ainsi, entre ses cuisses, à la humer, à la sentir. Elle se recule un peu et me regarde de la tête aux pieds. De mon côté, j’ai les yeux rivés sur les longs poils de son pubis dont certains sont déjà un peu grisonnants. Ceci dit, sa toison intime est encore très ...
    ... brune, rien à voir avec sa chevelure… — Oh, quel petit cochon ! C’est ma puanteur qui vous excite comme ça ? demande-t-elle en observant ma trique.— C’est votre odeur de pisse.— Ah, ah, ah… bravo… vous avez bien appris la leçon. N’empêche que mes mauvaises odeurs vous font salement bander ! Je crois que, sur ce point, nous allons bien nous entendre… Elle s’avance vers moi, et me présente à nouveau son sexe. — En récompense, ce soir, je vous accorde l’insigne privilège de faire ma toilette intime. Inutile de me le demander deux fois, je passe ma langue partout, sur ses poils, dans sa raie, dans le creux de ses cuisses, je lèche, je lape, j’aspire, je me déchaîne sur ce sexe que je trouve décidément très appétissant, et son odeur forte m’enivre. — Léchez-les bien, tous ces poils, faites-les reluire avec votre salive, j’aime avoir une toison bien lustrée. Je délaisse un peu sa grotte, dans laquelle ma langue cherchait à s’insinuer, pour m’occuper de son bosquet. Je la lèche ainsi un bon moment en regrettant que ses cuisses, un peu trop serrées, ne me permettent pas d’aller plus loin en elle. La voici maintenant qui se retourne, qui me présente ses fesses. Une odeur tout aussi forte s’en dégage ! Elle écarte ses globes fessiers pour dévoiler sa raie. Je renifle, j’en prends plein les narines de ces senteurs très âcres. Son petit trou brun frotte sur mon nez. C’est une invitation à le lécher. Au point où j’en suis, je suis prêt à tout pour la satisfaire. Je lèche consciencieusement ...
«1...345...12»