1. Cours particuliers


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fh, fplusag, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession,

    ... s’offrent sans retenue. Elles se permettent des choses qu’elles n’oseraient pas demander à leur mari. Expertes dans le plaisir. Plaisir reçu mais aussi, elles se font un devoir de chouchouter leur amant comme pour se prouver qu’elles sont de parfaites courtisanes et pas seulement des baises après la télé ou après avoir couché le petit dernier. — Mais non ! Enfin, je veux dire oui. C’est juste que je ne m’attendais pas à votre invitation. Elle sourit. — C’est par ici, dis-je en lui prenant la main, montrant ainsi que nous sommes bien « synchrones ». Lorsque j’ouvre la porte de mon studio je préviens par un : — Excusez le désordre.— C’est très bien rangé ! Vous verriez la chambre de mon fils ! Petit moment de gêne lorsque nous nous retrouvons face à face. Elle prend l’initiative en détachant le haut de son tailleur. La jupe suit dans un mouvement si fluide que je ne réagis pas, tout au plaisir de la découverte. Je ne connais pas les grandes marques de lingerie mais ce qu’elle porte est ravissant. Ravissant et élégant, autant par la couleur d’un noir qui paraît digne d’un tableau de Pierre Soulages que par la matière, aérienne, vaporeuse. Dissimuler pour mieux montrer ! Mais que dissimule une dentelle de Calais ou d’ailleurs, fût-elle de soie noire ? Pas la générosité d’une poitrine dont les tétons et les aréoles sont des repères. Pas la rondeur des hanches que le porte-jarretelle souligne. C’est à peine si le triangle du string arrive à dissimuler le lieu de tous les délices ...
    ... et ce ne sont pas les ficelles qui le maintiennent qui doivent protéger du regard et du reste, les fesses que je devine fermes. Mais que je suis « nunuche » de rester bouche bée devant ce spectacle, comme si c’était ma première fois. Je dois réagir. J’attrape le zip de mon gilet pour le descendre. Je l’enlève et me retrouve en chemise. Je vais continuer mais la femme m’arrête par un : — Laisse-moi faire. Et se saisissant du premier bouton elle ajoute : — Je m’appelle Rose et toi ?— Julien.— Heureuse de te connaître, Julien, dit-elle alors qu’elle effleure mes lèvres d’un baiser et que ses mains ouvrent déjà ma chemise pour se glisser entre tissu et peau déclenchant un frisson de ce contact. La chemise tombe à terre. Les lèvres parcourent un chemin délicieux de mon cou à mon ventre, s’attardant sur mes tétons qu’elles sucent et aspirent dans une caresse que peu de femmes pratiquent. Et puis les mains découvrent la ceinture, le bouton, le zip. Elles semblent plus impatientes, tirent sur le pantalon pour le faire descendre, entraînant avec lui les chaussettes. Je l’aide en soulevant, jambe après jambe, pour ne plus être entravé par le tissu. Je suis en slip. J’aime être bien maintenu. J’ai horreur que ma verge soit « négligée », pendant tristement sur les bourses comme certains caleçons le laissent faire. Je choisis mes slips et boxers afin que dans une glace la bosse soit parfaite, bien équilibrée. Je sais que c’est un peu idiot mais il y a bien d’autres bizarreries ! Je ne sais ...
«1234...9»