1. Cours particuliers


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fh, fplusag, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession,

    ... le prétexte qu’elle fait une fellation. Je préviens ma suceuse : — Arrête, je vais venir. Elle comprend. Sourire aux lèvres, mais aussi quelques coulures de salives, elle se relève et va chercher dans son sac une boîte de capotes. Voilà une femme prévoyante ! Voilà une femme qui a de l’expérience ! Elle enveloppe ma bite en quelques secondes. Elle se relève. Elle se penche pour enlever sa petite culotte. Son minou est bombé. Ses petites lèvres ondulantes. Sa fente humide. Sa nudité est totale. Elle me repousse du doigt pour me faire allonger. Elle m’enjambe. Ses bas crissent sur mes cuisses. Elle attrape ma bite, sent la force de ce ressort de chair qui la plaque tendue, dure, bâton vigoureux avec juste la souplesse pour qu’elle puisse se laisser guider vers la fente. Elle regarde ma bite et sa chatte. Elle guide mon gland. Elle le frotte contre son trésor, m’arrachant un soupir de plaisir. Et puis elle descend sur mon pieu. Le gland est à peine entré que déjà elle se redresse pour mieux descendre et s’empaler en douceur. — C’est bon ! Tu es très dur, dit-elle en bougeant autour de mon mandrin. Déjà elle commence à se déplacer. Elle se baise avec douceur, plus en ondulant que par une possession active. Et puis elle gronde. J’attrape ses seins lourds, je les enveloppe, mes mains sont trop petites, les aréoles sont des disques imposants, ses tétons pointent. Des tétons que je roule maintenant entre mes doigts. — Oui. Comme ça. Tords-les. C’est bon. Elle commence vraiment à ...
    ... bouger. Je l’aide en donnant des coups de reins. Ses fesses claquent sur mes cuisses. Sa main s’est plaquée contre son clitoris. J’en sens les doigts qui effleurent mon mandrin alors qu’elle monte et descend dessus. La chambre se remplit de nos soupirs et de ce bruit si excitant de sa mouille brassée par mon piston de mandrin. Elle me regarde mais ne me voit pas. Elle est concentrée sur son plaisir les yeux regardant au-delà de moi, battant les paupières au rythme de ses mouvements. Elle va si vite que je ne bouge plus. Ma queue gonfle pour mieux la remplir. Et puis ce moment magique où : — Oui ! Oui ! Je viens ! Je viens ! Ahhhh… Elle jouit. Tétanisée quelques secondes et puis elle se laisse venir sur moi, me couvrant de son corps. Enfin, je peux me laisser aller. J’essayai de ne pas trop me laisser emporter pour mieux contrôler ma jouissance. Il me suffit de quelques coups de reins pour que mon sperme jaillisse, malheureusement retenu dans sa prison de latex. Voilà un plaisir que des liaisons rapides ne permettent pas : inonder la femme de la liqueur qu’elle a provoquée. Son corps est tout en douceur, sa peau est douce, son souffle qui s’apaise me chauffe le cou. Je l’enveloppe de mes mains, ne résistant pas au plaisir de découvrir la fermeté de ses fesses, de jouer avec l’élastique qui relie les bas au porte-jarretelles. Nous restons un instant ainsi, couple provisoire lié par le souvenir de cet instant de plaisir. Ma verge est toujours en elle, bien au chaud, à peine relâchée ...
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