Palabres et révélations
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fhh,
jeunes,
inconnu,
Inceste / Tabou
profélève,
vacances,
bain,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
jeu,
mélo,
fantastiqu,
... proximité de Thomas aurait empêché quoi que ce soit de vraiment sérieux entre nous. Mais, la fatigue aidant, un flirt poussé assorti de quelques caresses polissonnes aurait suffi à mon bonheur. M’étirant avec volupté, je songeai à l’enivrement de laisser nos corps s’apprivoiser, allongés côte à côte. Cette pensée suave raviva le brasero couvant entre mes cuisses. J’enlaçai maladroitement Marc pour la bise du soir, sous le regard de Thomas. Je n’eus pas le cran de lui glisser ma suggestion à l’oreille. Je me fis une raison, l’abandon complice serait pour plus tard. L’attente est censée stimuler le désir… pourtant, le pompier n’avait toujours rien manifesté de concret à mon endroit. C’était l’ado qui me reluquait, pour l’instant, avec la discrétion du fameux loup de Tex Avery. J’imagine que Thomas se serait bien vu me tenir compagnie sous la couette. Dire que j’avais passé ma soirée à l’émoustiller sans vergogne… Le pauvre ! Pendant que Marc répandait un peu d’eau sur le foyer, noyant les ultimes rougeoiements, Thomas réclama son tour de se frotter à moi. Je le laissai me coller, tendant la joue avec un soupir intérieur. Dès qu’il me toucha, je ressentis une vibration moite dans la vulve, accompagnée d’une sensation de chaleur intense, comme si un courant d’air incandescent venait de me traverser. Une véritable révélation physique ! Un appel sensuel digne d’un sortilège ! Je sus aussitôt que je ne pourrais rien refuser à Thomas Ginest, s’il lui prenait l’envie de me ...
... l’ordonner. J’en eus le souffle coupé. Voyant que je restais appuyée contre lui, pantelante et sans plus de réactions, Thomas s’enhardit. M’embrassant dans le cou, puis dans le creux de l’épaule, il caressait mes seins, durcis par l’excitation. Ses attouchements, légers au départ, se faisaient de plus en plus pressants. Je ne pus m’empêcher de gémir. — Hum… Je crois que Sophie tombe de fatigue, fit une voix dans notre dos. Si on la laissait un peu se reposer ? Dès que l’ado me lâcha, je retrouvai un semblant de contrôle sur moi-même. Je croisai les avant-bras sur ma poitrine pour cacher mes mamelons, érigés comme si une équipe de rugby au grand complet s’était relayée pour les sucer et les mordre. Waouh ! Même au plus fort de mes jeux avec Fred, je n’avais jamais connu ça ! Je ne savais même pas qu’un truc pareil pouvait exister ! C’était instantané et redoutablement efficace. Pire que ça. Effrayant, presque diabolique ! J’étais partie, shootée, comme intoxiquée par le plus violent aphrodisiaque jamais rêvé par un pervers. J’avais l’impression de faire partie de cette pub où une armée de femmes en rut convergent vers un homme torse nu, s’aspergeant de déodorant sur une plage. Je sais, c’est ridicule, mais c’était exactement cette sensation-là ! Ça n’avait pourtant rien d’artificiel, aucune substance ne pouvant susciter à ce point le désir féminin. Je dus me rendre à l’évidence. C’était bien Thomas, qui boostait mes hormones à ce niveau stratosphérique. J’étais contaminée, mon corps ...