La punition
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fff,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
champagne,
fouetfesse,
fsoumisaf,
vêtements,
... violemment sur l’échancrure. Elle l’ouvre ainsi largement jusque sous mes seins. J’ai dorénavant un décolleté géant qui offre aux regards de ces dames mon bustier et mes seins qui débordent de toutes parts. Je vois l’œil ravi de Maryse à cette vue mais ce n’est rien par rapport aux regards de Marie. Anne-Marie poursuit : — Tenez, prenez ces bouteilles de jus de fruit et servez-nous mais agitez-les bien avant, c’est du pur jus avec pulpe.— Bien, Madame.— Plus fort ! Vous ne mélangez rien ainsi. J’agite plus violemment la première bouteille que j’ai prise, jus de pamplemousse, et mon regard tombe sur le miroir face à moi. Je peux ainsi juger de l’état de ma tenue actuelle. Mon top écartelé laisse voir mes seins déborder du bustier et mes mouvements violents sur la bouteille les font trembler à l’extrême, donnant l’impression qu’ils vont s’échapper de leur cage. Mon ventre à l’air libre grâce au pantalon ultra bas et le top trop court, est secoué de tremblements légèrement déphasés avec les gestes de mon bras. Je sens aussi ce satané pantalon glisser continuellement sur mes hanches, ou plutôt sous mes hanches. Je sers Maryse et Anne-Marie, mais au moment de servir Marie : — Non, je ne veux pas ce parfum, mais celui-là, à l’abricot. J’adore les abricots. Un sourire pervers aux lèvres, elle ajoute : — Et agite-la bien ! Son regard braqué sur mon corsage ne m’a pas échappé et je sais pourquoi, elle souhaite tant avoir son jus bien agité. Aussi je ne peux que chercher à lui faire ...
... plaisir, il faut bien compenser mes « bêtises ». Je saisis la bouteille du bon breuvage, je lui tends un verre et je me plante devant elle. Je me penche légèrement tout en secouant la bouteille comme une hystérique. Mes seins laiteux sont secoués en tous sens, tressautent comme si j’avais un marteau-piqueur dans les mains. Je crains même de les voir s’échapper de leur nid, enfin, je ne ressens pas vraiment de crainte bien sûr. Marie est hypnotisée et certainement encore sous le charme du spectacle car elle ne pense pas à me faire un coup vache quand je lui sers son verre. Le service fini et après avoir remonté une fois de plus mon pantalon, j’entends Anne-Marie m’ordonner : — Servez-nous d’autres toasts et sans bourde cette fois, ma patience a des limites. Les mains prises par un nouveau grand plateau bien rempli, je sers ces dames, Maryse, Anne-Marie et je finis ma tournée par Marie. — Penche plus le plateau, voyons, je ne vois rien !— Pardon. Je me penche, pliée en deux, posant presque le plateau sur ses genoux. Une fois de plus, elle reluque ma poitrine, qui déborde encore plus du bustier de par ma position que les canapés. Elle finit par en choisir un et alors que je m’y attends le moins, elle donne un discret coup de genou sous le plateau. Surprise ! Il m’échappe d’une main et se déverse en partie sur elle et sur le sol. Marie hurle : — Allez, nouvelle gaffe de ta gourde, c’est pas vrai ! Anne-Marie, comment tu les éduques, tes élèves ?— C’en est trop, Catherine, venez ici ...