La punition
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
fff,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
champagne,
fouetfesse,
fsoumisaf,
vêtements,
... ! Tout en disant ceci, Anne-Marie se lève et tourne son fauteuil d’un quart de tour de façon que son côté soit en face des deux invitées. — Penchez-vous sur le dossier du fauteuil pour recevoir ce que vous méritez.— Pardon, Madame, je suis désolée…— Penchez-vous sur le dossier et ne discutez pas, c’est trop tard. Obéissante je prends la position couchée sur le dossier du fauteuil. Cette même position qui m’avait permis de recevoir, il y a un mois, la fessée la plus excitante et jouissive que je n’avais eue de ma vie. Le ventre en appui sur le dossier, le buste pendant dans le vide et les fesses tendues vers le haut, j’attends ma punition. Marie intervient alors : — C’est moi l’offensée, c’est à moi de la punir.— C’est vrai, Marie, à toi ce plaisir. Je vois que je suis aussi en pleine vue devant la porte-fenêtre dont les petits rideaux sont bien écartés. La nuit étant presque tombée, la pièce éclairée doit offrir une vue limpide depuis l’extérieur. Il me semble d’ailleurs voir une silhouette à la fenêtre d’un des appartements d’en face, un étage plus haut. En forçant ma vue, je vois maintenant nettement une forme humaine derrière cette vitre. Je ne sais pas pourquoi mais je pense immédiatement à mon patron, frère d’Anne-Marie, je suis persuadée que c’est lui, une sorte de sixième sens. Ça m’excite encore plus de penser qu’il est là derrière cette fenêtre. Je sens alors une main passer sur mes fesses tendues, Marie est maintenant derrière moi. Elle me pétrit une fesse en ...
... clamant : — Elle a vraiment un cul à être fessée toute la journée. Elle finit à peine sa phrase qu’une claque tombe sur mon postérieur, suivie rapidement d’une deuxième. Le dosage est aussi exquis que celui d’Anne un mois plus tôt. Que du plaisir, pas la moindre douleur. À la troisième, je ne peux retenir un gémissement. — Aaahhh…— Écarte tes jambes au lieu de couiner ! Voilà, comme ça. Une nouvelle claque tombe, toujours aussi jouissive, et une autre. — Aaahhh…— T’avais raison, Anne, c’est vraiment une grosse vicieuse. Tu l’entends comme elle couine déjà ?— Je t’avais dit que tu ne serais pas déçue.— Je suis même sûre que… Elle glisse sa main entre mes cuisses écartées, je sens ses doigts frotter mon sexe à travers le tissu léger du pantalon. — Cette salope a déjà la chatte trempée, son pantalon est tout humide de son jus. Sa main continuant à frotter mon intimité à travers le pantalon, elle m’assène plusieurs nouvelles tapes sur le cul, donnant un résultat encore plus évident que précédemment. — AAAHHH… Aaahhh…— J’arrête, elle est capable de jouir, ajoute Marie en rigolant. Je croyais que c’était une punition. Relève-toi, tu jouiras plus tard. Je me redresse de ma position couchée et je sens Marie saisir mon top dans mon dos par l’encolure. Ses mains se glissent à l’intérieur et elle tire violemment pour l’écarter jusqu’à lui faire passer mes épaules. Le textile craque et Marie poursuit son œuvre en faisant tomber le vêtement le long de mes bras. Celui-ci finit par glisser tout ...