1. Angel'seven. I. Angela. (2)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Divers,

    ... devin et non fait de la chair d’un homme, un être qui ne pouvait avoir aucun regard pour son corps de femme. Une fois revêtue de sa robe de bure il l’entraîna vers le mur opposé. Deux courtes chaînes pendaient. Il lui leva les bras l’un après l’autre et referma un anneau d’acier sur chacun de ses poignets. Elle était désormais face contre le mur, tout contre - sentant la paroi contre sa poitrine, bras tendus au maximum, ses pieds nus à plat sur le sol froid. Elle ne posa aucune question. Quand elle le sentit derrière lui, et que sa robe de mur remontait jusqu’à ses reins, elle l’entendit dire : « - Vous allez faire pénitence. » Elle ne protesta pas plus quand, les fesses à l’air sous ses yeux, elle sentit qu’il lui dénouait la ceinture de corde et la renouait par-dessus le vêtement sur sa taille pour qu’il ne retombe pas. Sa voix de plus en plus caverneuse et sévère prononça : « - Vous allez avoir la chance d’expier en partie vos péchés ! » Elle sentit deux grandes mains glacées se poser de chaque côté de ses fesses massives, comme pour prendre la mesure de son fessier. Elle les sentit également descendre sur l’arrière de ses cuisses rebondies, les palper d’un air satisfait. Elle le sentit respirer derrière elle, un souffle curieusement froid et fétide. Puis tout en ressentant toujours sa présence, elle comprit qu’il était à deux pas derrière lui. Un claquement violent et sec emplit la salle lugubre, accompagné d’une effroyable brûlure sur son postérieur. Elle hurla. Un ...
    ... second s’abattit, accompagné d’une douleur encore plus intense. Nouveau hurlement. A un rythme régulier comme un métronome la large strappe de cuir s’abattit sur sa chair, en lignes parallèles, parties du bas des reins, puis descendant, zébrant sa peau, atteignant la courbe inférieure des fesses, puis attaquant les cuisses à la peau douce, et descendit jusqu’au bas des mollets. Angela criait et sanglotait, tout en sentait à travers ses pleurs une délivrance, une émotion faite de bonheur, de soulagement, une sensation intense de purification, de plaisir, et elle revoyait dans sa tête l’image des anges en extase. A chaque secousse réflexe de son corps, projeté en avant sous la morsure du cuir, elle sentait le frottement douloureux du tissu rêche et grossier sur la peau fine de ses seins et de son ventre. Longtemps après que les coups eurent fini de pleuvoir sur sa chair, elle resta secouée de spasmes, de pleurs convulsifs, comme si toute la tension emmagasinée depuis des mois se relâchait en une conclusion heureuse, comme si elle était arrivée au bout de quelque chose. Elle trouva naturel que ses poignets furent libérés, et comme apaisée, elle ôta la robe de bure et remit ses vêtements. La lumière qui était devenue plus intense la guida vers l’escalier, la sortie. Elle se rendit à peine compte qu’elle marchait déjà dans la rue. La cuisson de ses jambes, de ses cuisses et de ses fesses s’irradiait en elle, bienheureuse brûlure, à chacun de ses pas. Elle s’arrêta dans un bistrot, et ...