1. La directrice-adjointe


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fplusag, extracon, Collègues / Travail fdomine, Oral pénétratio, extraconj,

    ... l’immobiliser. Elle sentait dès lors sa queue collée contre son bas-ventre, ce qui lui procura une sensation de chaleur foudroyante. Pourtant, elle ne voulait pas. Elle s’était juré de ne plus jamais s’offrir à lui. Mais une fois de plus, sa raison s’égara dans le brouillard de son ivresse. Allait-elle de nouveau succomber ? — Non, Antoine ! Je n’veux pas, tenta-t-elle de dire en se débattant… Arrête ! Mais ces mots sonnaient déjà faux dans sa bouche et, malgré ses bonnes résolutions, elle souhaitait déjà au fond d’elle-même qu’il n’arrêtât pas ! Elle eut pourtant un nouveau sursaut quand elle sentit Antoine présenter sa verge juste à l’entrée de son intimité. Elle se débattit à nouveau… pour la forme, mais elle savait bien qu’elle avait perdu la partie. — Arrête ! supplia-t-elle encore. Il y eut alors un moment de flottement. Antoine, peut-être pris d’un soudain cas de conscience, hésita une seconde. Elle, comprenant qu’il allait peut-être obéir et donc « lâcher l’affaire », ce qu’elle ne voulait plus, écarta un peu les jambes et avança légèrement son bassin, permettant ainsi à la queue de son amant d’ouvrir un passage vers son vagin totalement inondé de désir. Lui, interprétant immédiatement ce signal comme une approbation pleine et entière, s’enfonça en elle profondément et d’une seule poussée. — Non, cria-t-elle ! Je n’veux pas ! Une pensée lui traversa l’esprit à cet instant : la traiter de « petite salope » qui ne demande que ça.Quel pied se serait de traiter ainsi ma ...
    ... patronne au moment où je la baise, se dit-il ! Mais il n’osa pas et garda ces mots pour lui. — Arrête, arrête, fit-elle encore, mais de moins en moins fort, son attitude disant exactement le contraire ! Toujours plaquée contre la paroi, elle se pendit finalement à son cou en amante totalement consentante et soumise. — Non, soupira-t-elle une dernière fois… Tu n’es qu’un petit salaud ! Il la baisa alors avec une énergie bestiale, soufflant à chaque mouvement de son bassin. Elle, de plus en plus lascive, gémissant de plaisir, en un mot heureuse, se sentit vite à la frontière de l’orgasme. Elle se rendit compte qu’elle avait désiré ce moment, malgré elle, inconsciemment et de manière confuse. Alors pourquoi l’avait-elle tant retardé ? Pourquoi vouloir lutter contre sa nature ? Au plus profond d’elle-même, elle n’avait qu’une envie : offrir son corps de femme à ce mec beau comme un dieu ! L’orgasme vint très vite pour eux deux et ce fut comme un feu d’artifice. Ce fut fulgurant, flamboyant, éclatant ! Jamais ils n’avaient connu pareilles sensations. Ils se dirent qu’ils étaient les amants les plus heureux du monde ! … et les jours suivants… À partir de ce jour, Agnès renonça définitivement à lutter contre ses envies. Elle voulait cet homme, n’importe où, n’importe quand et contre toute raison. Avec lui, elle n’était plus la même : elle se sentait plus belle, plus désirable, plus féminine aussi ; sa sensualité était à fleur de peau, son désir était décuplé. Elle avait cet homme ...