1. La directrice-adjointe


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fplusag, extracon, Collègues / Travail fdomine, Oral pénétratio, extraconj,

    ... dans la peau, un point c’est tout ! Pourquoi donc aller contre le destin qui lui avait envoyé ce beau cadeau ? Elle en était dès lors certaine, Antoine serait définitivement son amant ! Elle n’eut dès lors plus aucun complexe à tromper son mari, régulièrement, délibérément et bien entendu, à son insu. Jusqu’à ce jour, sa fidélité avait toujours été exemplaire, alors que lui ne pouvait pas en dire autant, elle se sentait donc le droit de s’octroyer un minimum de liberté. La vie est trop courte ! La mère de famille se refusait également à culpabiliser. Tromper Nicolas n’était pas tromper ses enfants. Elle aimera toujours ses enfants plus que tout : son petit Lucas, si fier du haut de ses dix ans et la toute petite, son adorable Emma, si jolie avec ses cheveux blonds bouclés ! Ce n’est pas parce qu’elle était tombée folle amoureuse d’un mec, qu’elle allait les abandonner ! Pour rien au monde ! Elle s’était peu à peu construit un scénario où, somme toute, Antoine ne jouerait pas le premier rôle. ...
    ... Il serait son amant et rien de plus. Son jouet en quelque sorte. Jamais elle n’abandonnera son mari, qu’elle aime toujours autant malgré ses incartades. Simplement, désormais, elle aimerait deux hommes en même temps. Elle ne serait pas la première à agir ainsi ! Elle ne se posa même pas la question de savoir si Antoine se contenterait de ce second rôle. Serait-il toujours prêt à répondre présent quand elle aura envie de lui ? Serait-il toujours prêt, comme un toutou fidèle, à attendre le bon vouloir de sa maîtresse ? Rien n’était moins certain. En attendant, Agnès et Antoine organisèrent leurs vies professionnelles autour de leurs amours, évitant soigneusement toute activité sexuelle dans l’enceinte de l’usine. Le plus souvent, ils se retrouvaient chez Antoine, qui avait un petit studio à dix minutes en voiture du travail, soit pendant la pause du déjeuner, soit le soir après le travail. L’un et l’autre attendaient ces doux moments avec impatience, comme un enfant attend le Père Noël. À suivre… 
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