La directrice-adjointe
Datte: 17/06/2019,
Catégories:
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... ?— Oui.— C’est Agnès. Venez me voir tout de suite.— Bien, fit-il ravi, j’arrive. C’est peu de dire qu’il se rua dans le couloir vers le bureau de sa patronne. Moins de vingt secondes plus tard, il frappait à sa porte. — Entrez, Antoine. Il entra, ou plutôt il se précipita dans le bureau et referma la porte derrière lui. — Vous m’avez demandé, madame ? Elle sourit à ces mots trop polis qui le mettaient d’emblée dans une position de soumission. — Donnez un tour de clé, Antoine. Je ne voudrais pas qu’on nous dérange pendant notre travail. Il obéit, puis resta stupidement près de la porte. — Approche, fit-elle… Je ne vais pas te manger ! Lorsqu’il fut près d’elle, elle fit rouler son fauteuil en arrière et lui fit faire un quart de tour de façon à se trouver face à lui. Les yeux dans les siens, elle lui lança un regard de défi afin de bien lui montrer qui était le maître. Mais cette expression dominatrice dissimulait en fait un profond trouble qui s’était emparé d’elle et son apparente assurance n’était qu’un leurre. Quand elle releva lentement sa robe sur ses jambes croisées, elle fit son possible pour garder son sang-froid, fixant toujours le jeune homme de son regard direct et sans ciller. Enfin, elle reprit sur un ton qui se voulait autoritaire : — Enlève ton pantalon ! Antoine, qui ne quittait plus des yeux les tentantes cuisses de sa patronne (il en avait été privé pendant un mois), n’hésita pas une seconde et obtempéra sans broncher. Lorsque le pantalon fut enlevé, le ...
... boxer accusait déjà une érection qui impressionna Agnès. En effet, de dominateur l’instant d’avant, son regard était devenu étonné et gourmand. Comme Antoine semblait attendre les ordres, elle fit semblant de se fâcher : — Eh bien ? Qu’est-ce que t’attends ? Enlève-moi vite ce boxer, enfin ! Sans réfléchir, Antoine obéit comme un automate et le sous-vêtement rejoignit le pantalon sur le sol. Il se trouva alors un peu ridicule, à demi nu et en chaussettes devant la directrice-adjointe. Mais Agnès, elle, n’avait d’yeux que pour ce membre qu’elle reconnaissait bien et qui l’avait si bien remplie il y a un mois. Le souvenir de cet après-midi de plaisirs infinis et de jouissances extraordinaires la perturba considérablement et, pour la première fois depuis qu’Antoine était rentré dans ce bureau, elle eut peur de ses propres pulsions, peur de succomber à nouveau. — Approche, parvint-elle à prononcer sur un ton beaucoup moins assuré ! Antoine qui semblait, lui, beaucoup plus à l’aise, vint au contact et sa cuisse toucha celle de sa patronne, ce qui déclencha chez elle un petit frémissement. La verge de l’homme était maintenant à portée de sa main. Tendant la main droite, Agnès saisit le membre et commença à le masturber, avec lenteur, d’un mouvement ample et précis. Puis elle tendit la main gauche, qui vint caresser les testicules, légèrement, d’un effleurement délicat. Les actions habilement coordonnées de ses deux mains procurèrent à son partenaire une sensation extraordinaire qui le ...