1. La directrice-adjointe


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fplusag, extracon, Collègues / Travail fdomine, Oral pénétratio, extraconj,

    ... fit d’abord partir sur un nuage de bonheur. Mais cela ne dura qu’un temps, car son excitation montant aussi vite que le compteur d’une Ferrari en pleine course, il sentit l’explosion finale toute proche. Il aurait voulu prolonger cette extase, mais il préféra s’en remettre à son habile directrice-adjointe, qui savait si bien porter son amant au fer rouge ! — Je vais tout lâcher, fit-il dans un souffle afin de la prévenir. C’est à peine si elle eut le temps de dévier « l’arme », qu’un premier jet de sperme, très abondant, vint s’écraser sur le carrelage, bientôt suivit d’un deuxième, puis d’un troisième plus modeste.Quel pied ! se dit Antoine. À n’en pas douter, Agnès savait y faire. Sa dernière copine, elle, trop stupide, lâchait tout dès le premier jet, le privant du meilleur moment, celui où l’orgasme est le plus violent. Agnès, elle, ne lâchait rien temps que la bite qu’elle branlait n’avait pas rendu sa dernière goutte ! Vraiment, cette femme connaissait bien les hommes ! Combien en avait-elle déjà connus pour être aussi experte ? Troisième jour après les vacances Agnès arriva au bureau le matin le cœur en joie. Légère et heureuse. La masturbation qu’elle avait infligée la veille à son comptable eut en effet une conséquence extraordinaire et inattendue : elle décuplait sa libido. Le soir, son mari Nicolas fut tout étonné de trouver une épouse très amoureuse, plus que cela même, une épouse sensuelle que le moindre attouchement faisait réagir. Leur nuit fut donc torride. ...
    ... C’est Antoine qui se manifesta le premier en appelant sa patronne à peine arrivé au bureau : — Je peux vous inviter à prendre un café, demanda-t-il timidement ?— Bien sûr ! Comme la veille, ils se retrouvèrent devant la machine à café. Antoine fut immédiatement séduit par la petite robe courte que sa patronne portait, avec classe et distinction, comme toujours. Séductrice, sans être racoleuse, telle était sa jolie patronne. — Je vous remercie pour hier, commença-t-il.— Oubliez cela, fit-elle, sur un ton qu’Antoine interpréta comme agacé ! Il aurait aimé lui exprimer tout le plaisir qu’il avait pris et lui dire comme il aimerait recommencer, mais il pensa que ce n’était sûrement pas le moment. Ce matin-là, elle avait remis son costume de patronne. Ils parlèrent donc d’autres choses : du beau temps, des vacances et du boulot avant de retourner au travail dans leurs bureaux respectifs. Toute la matinée, le jeune comptable ne pensa qu’à cet instant où elle l’appellerait. Mais l’appellerait-elle ? Agnès ne lui avait jamais promis de s’occuper de lui tous les jours ; elle lui avait juste dit qu’elle déciderait du moment, sans plus. Cette dernière pensée l’angoissa. Et si elle ne l’appelait pas ! La matinée se passa ainsi, sans qu’il ait de nouvelles d’elle. Il eut envie de l’appeler sous un prétexte quelconque, pour entendre sa voix, pour lui rappeler qu’il existait. Mais il se retint. À midi, dépité, il alla prendre un sandwich dans un bistrot proche ; son moral était au plus bas. ...
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