La directrice-adjointe
Datte: 17/06/2019,
Catégories:
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... Elle ne l’appellerait pas, se disait-il. Elle avait peut-être trop de boulot ! Il espérait au moins qu’elle ne fût pas fâchée. Mais à son retour au bureau, une lueur d’espoir se dessina au moment où il la croisa dans le couloir : — Ah, Antoine. Passez me voir dans une demi-heure, lui dit-elle sans même ralentir son pas pressé. Waouh ! se dit-il en lui-même, de nouveau plein d’espoir. Il regarda sa montre : treize heures quarante-cinq. Il regagna son bureau pour y attendre l’heure, déjà tellement impatient de la rejoindre. Son esprit totalement accaparé par cette idée, il ne put rien faire durant cette demi-heure d’attente. Agnès était dans un état d’esprit semblable. Elle s’était installée à son bureau et avait entrepris de parcourir ses derniers emails. Mais elle n’avait plus la tête à ça ; elle était déjà ailleurs, alors les messages qu’elle lisait n’avaient soudain plus aucun sens. Mais pourquoi l’imminente visite de ce « gamin » la troublait à ce point ? se demanda-t-elle. C’était incompréhensible pour elle. Avait-elle peur de ne pas être à la hauteur, peur de le décevoir ? Ou tout simplement, avait-elle peur de ses pulsions ! Elle ne s’était encore jamais sentie aussi fragile face à un homme et ça la déstabilisait totalement. Tout à coup, on frappa à la porte. Paniquée, elle remit de l’ordre à son chignon, déplaça le clavier de son ordinateur, puis elle se laissa basculer sur le dossier de son fauteuil, tentant de prendre un air aussi détaché que possible. — Entrez, ...
... cria-t-elle enfin. Antoine parut dans l’entrebâillement de la porte : — Je peux ?— Bien sûr, entrez, Antoine. Une fois qu’il fut à l’intérieur, il demanda : — Je ferme à clé ?— Évidemment, fit-elle. Veux-tu qu’on nous surprenne ? Il nota qu’une fois de plus, elle le tutoyait, comme toujours dans leurs moments d’intimité. Il se dit que c’était bon signe. — Approche. Viens devant moi, dit-elle en lui désignant d’un vague geste de la main l’espace situé face à son bureau.— Je m’assois ?— Non, reste debout, répliqua-t-elle, autoritairement. Enlève ta chemise ! Toujours obéissant, Antoine fit ce qu’on lui demandait et jeta sa chemise sur l’un des fauteuils qui faisaient face à Agnès. — Le pantalon, maintenant ! Quand Antoine se retrouva avec son boxer pour seul vêtement, Agnès fut troublée par une érection déjà conséquente qui déformait le sous-vêtement. Cette fois, elle n’eut même pas besoin de le lui dire, il l’enleva aussitôt. Il se trouvait maintenant totalement nu devant elle et n’en semblait pas le moins du monde gêné. Agnès cependant essayait de dissiper son trouble, qui n’avait fait que grandir à la vue de cette queue bien tendue. — Branle-toi maintenant, continua-t-elle.— Vous voulez que je… fasse ça moi-même ? fit il hésitant. Elle se contenta d’un signe de tête approbateur, alors que son regard était attiré comme un aimant par la verge de son comptable. Ce dernier obtempéra et se mit à se masturber doucement, sans empressement, afin de ne pas hâter l’orgasme, car la simple ...