La Muse (6)
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
Hétéro
Chapitre 6 : Juin 2005 : le bac et les premières vacances Nous sommes en juin ; c’est le bac ! J’avais bossé comme une folle avec Rémi, papa m’aidait beaucoup pour réviser ; j’avais l’impression que ma tête allait exploser. La victoire avait été au rendez-vous : nous avions gagné et obtenu notre examen, moi avec mention bien ; j’étais ravie. Pour me féliciter, mes parents et mes grands-parents m’ont offert le permis de conduire ; maman m’a inscrite à une formation en accéléré, j’avais quinze jours pour obtenir le fameux sésame. J’ai encore bossé comme une folle et ai obtenu mon papier rose du premier coup ; j’étais heureuse, et mes parents fiers de moi. En récompense, papy m’offrit sa vieille Twingo rouge ; il ne conduisait plus et voulait la vendre. Il avait préparé une annonce : « Vend Twingo rouge, faible kilométrage, comme neuve ; idéale pour débutant. Prix ferme : cinq cents Euros. » Il l’avait fait révisée et même fait le plein ; avant de me confier les clefs, il fallut que je l’emmène faire un tour pour voir si je conduisais bien. J’étais morte de trouille ! Je me suis appliquée ; papy n’a pas eu peur et m’a donné sa voiture. Je sautais de joie ! Le lendemain, je voulus aller apprendre les bonnes nouvelles à Cécile au salon de beauté. J’y étais retournée deux fois pour des coupes ; je préférais garder les soins pour plus tard. Je voulais « me la raconter » avec ma titine rouge, mais déception : Cécile était en vacances pour deux semaines. Je fus déçue de ne pas ...
... pouvoir la voir et tout lui raconter. Depuis le bac, je n’avais pas encore fait l’amour avec Rémi ; je lui ai proposé de partir en vacances en camping avec moi, et que nous le ferions quand nous serions seuls. Nous sommes partis. Au volant de ma titine, j’étais radieuse : j’avais le bac, mon permis, ma voiture, et je partais en vacances avec mon mec. Il faisait un temps magnifique. Nous roulions vers la Côte d’Azur ; sur l’autoroute, les gens roulaient comme des fous, je n’étais pas fière. Arrivés au camping qui donnait sur la plage, nous avons monté la tente, les pieds dans l’eau. Le soir, nous sommes allés manger une pizza au resto du camping, ensuite nous sommes partis nous promener sur la plage. Nous nous tenions tantôt main dans la main, tantôt par la taille ; Rémi passait sa main sur mes fesses et moi sur les siennes. Tous les dix mètres, nous nous embrassions, timidement au début puis de plus en plus fort. Il passait ses mains sous ma jupe et me mettait les fesses à l’air : ce jeu m’excitait de plus en plus. J’étais bien, la nuit tombait, un souffle de vent chaud caressait mon visage ; petit à petit, mon ventre me picotait, une envie naissait doucement. — Rémi, on va chercher une serviette et on va prendre un bain de minuit. — Oh oui, d’accord ! Dans la canadienne, je me suis contorsionnée pour me déshabiller ; j’avais décidé d’y aller nue, enroulée dans ma serviette. J’obligeai Rémi à en faire autant. Je découvris son sexe en demi-érection ; mon envie grandit encore un peu ...